
Monsieur le Président l’heure est grave, la situation dramatique. Guet-Ndar est en train de se faire « dévorer ». En effet, malgré les nombreuses alarmes et alertes tirées auprès de l’Inspecteur de l’éducation et de la formation de Saint Louis Commune et restées sans réponse efficace, nous nous trouvons devant une situation qui promet de s’aggraver de jour en jour.
Certes la population est solidaire, mais surtout envers leurs habitations et leurs mosquées. La Mairie est en train de reloger les nécessiteux. Mais hélas, Monsieur le Président, personne ne se soucie de CHEIKH TOURE .
Vous êtes le seul à pouvoir faire protéger ce bâtiment qui abrite notre jeunesse guet ndarienne au nombre de 1.784. Monsieur le Président, il vous serait peut-être possible avec l’appui de l’armée, des militaires, de « soulever des montagnes » et de trouver une solution urgente pour essayer de sauver ce qui pourrait l’être.
Les maisons ont pour le moment, un minimum de protection, mais hélas, les écoles non. La population n’est pas consciente qu’à travers ces deux écoles, une brèche naturelle pourrait se créer et envahir Guet Ndar. La mer n’est pas houleuse, elle est pleine, à cause de ce vandalisme écologique qu’est la brèche de 2003.
S’il vous plait, Monsieur le Président, faites draguer le fleuve, afin que l’eau puisse s’écouler et qu’une solution d’urgence soit trouvée.
Arona NDIAYE PRÉSIDENT DU CGE DE L’ÉCOLE CHEIKH TOURE
COORDONNATEUR DU MOUVEMENT AND SOXALI NDAR
Certes la population est solidaire, mais surtout envers leurs habitations et leurs mosquées. La Mairie est en train de reloger les nécessiteux. Mais hélas, Monsieur le Président, personne ne se soucie de CHEIKH TOURE .
Vous êtes le seul à pouvoir faire protéger ce bâtiment qui abrite notre jeunesse guet ndarienne au nombre de 1.784. Monsieur le Président, il vous serait peut-être possible avec l’appui de l’armée, des militaires, de « soulever des montagnes » et de trouver une solution urgente pour essayer de sauver ce qui pourrait l’être.
Les maisons ont pour le moment, un minimum de protection, mais hélas, les écoles non. La population n’est pas consciente qu’à travers ces deux écoles, une brèche naturelle pourrait se créer et envahir Guet Ndar. La mer n’est pas houleuse, elle est pleine, à cause de ce vandalisme écologique qu’est la brèche de 2003.
S’il vous plait, Monsieur le Président, faites draguer le fleuve, afin que l’eau puisse s’écouler et qu’une solution d’urgence soit trouvée.
Arona NDIAYE PRÉSIDENT DU CGE DE L’ÉCOLE CHEIKH TOURE
COORDONNATEUR DU MOUVEMENT AND SOXALI NDAR