Au Sénégal, beaucoup d’écrivains considèrent le fonds d’aide à l’édition comme une machine à sous pour des escrocs reconvertis en éditeurs.
Pour l’écrivain saint-louisien Louis Camara, lauréat du Grand prix du chef de l’Etat pour les Lettres ‘’ le fonds d’aide à l’édition n’a servi qu’à enrichir une bande de prédateurs et d’opportunistes’’.
Quant à l’écrivain Moumar Guèye, il avait décidé de tirer l’utilisation de ce fonds au clair et en avait fait son combat.
Sur les plateaux de télés et dans plusieurs contributions écrites, il n’avait cessé d’interpeller l’Etat sur cette vaste escroquerie intellectuelle que serait, selon lui, le Fonds d’aide à l’édition.
Le colonel à la retraite ne s’en était pas arrêté là. En solo, il avait écrit à l’Ige et à l’Assemblée nationale, invitant les députés à ne plus voter ce fonds sans qu’une enquête ne soit menée auparavant pour situer les responsabilités de ce « détournement ».
D'après le Journal Temoin
Pour l’écrivain saint-louisien Louis Camara, lauréat du Grand prix du chef de l’Etat pour les Lettres ‘’ le fonds d’aide à l’édition n’a servi qu’à enrichir une bande de prédateurs et d’opportunistes’’.
Quant à l’écrivain Moumar Guèye, il avait décidé de tirer l’utilisation de ce fonds au clair et en avait fait son combat.
Sur les plateaux de télés et dans plusieurs contributions écrites, il n’avait cessé d’interpeller l’Etat sur cette vaste escroquerie intellectuelle que serait, selon lui, le Fonds d’aide à l’édition.
Le colonel à la retraite ne s’en était pas arrêté là. En solo, il avait écrit à l’Ige et à l’Assemblée nationale, invitant les députés à ne plus voter ce fonds sans qu’une enquête ne soit menée auparavant pour situer les responsabilités de ce « détournement ».
D'après le Journal Temoin