Le livre traite d'émancipation de l´orée au crépuscule de la révolution française avec les bouleversements liés au sort des anciens esclaves et l´émergence du capitalisme ou le néolibéralisme actuel qui sera décidé aussi à St Louis du Sénégal avec la création de la banque du Sénégal crée pour l´indemnisation des esclavagistes. Histoire avenir et lutte sociale se retrouvent mêlés dans ce drame toujours contemporain.
Abdoulaye Soumaré est né le 23 Septembre 1958 à Dakar. Son père, Ibnou Soumaré, était directeur de l’IFAN, Institut Fondamental d’Afrique Noir, et sa mère princesse Garmi du Cayor. Il fréquente très tôt des dignitaires politiques et la chefferie religieuse. Par honneur et devoir de mémoire, son père le fait homonyme, de son oncle, le général Abdoulaye Soumaré en pleine lutte, à côté de Modibo Keita, premier président de la république du Mali, contre la colonisation et le néocolonialisme naissant.
Abdoulaye sera personnellement confronté à l’éclatement de la fédération du Mali et, à l’échec des tentatives d’unir le continent africain, par l’arrestation de son oncle et d’autres valeureux panafricains, qui les uns après les autres trouveront le martyre ou finiront par être censurés totalement des affaires publiques. Très tôt, il se joint aux cellules de résistance pour la dignité humaine, qui s’établiront parmi les artistes. Il accompagne avec d’autres jeunes, Djibril Diop Mambetty, qui fut l’un des cinéastes africain le plus marquant de son époque et influencera cette génération à la libération de l’homme et de l’africain en particulier.
Soumaré refuse et critique très tôt les écoles du colonialisme pour finir par s’en faire un tracé et un chemin pour le futur. Son grand ami Mambetty lui dit un jour « Pour regarder ton avenir tu dois regarder derrière l’horizon, car cette limite dans le tiers monde est un horizon bouché ». Prenant le conseil du cinéaste à la lettre, il s’exil, comme des milliers de jeunes africains dans les années 80, vers l’Europe.
Il s’installe en Allemagne, où il continu son combat sur les grands thèmes que sont « la réunification du continent Africain » et « l’instauration de devises propres », dans le respect des recommandations ancestrales. Son choix conscient de l’exil en Allemagne lui permet de prendre du recul sur la France et ses colonies « indépendantes », mais qui plus que jamais sont manœuvrées socialement et économiquement par l’ancienne puissance coloniale. Il y retrouve son ami d’enfance qui a fréquenté comme lui l’école des Arts de Dakar, Mansour Ciss Kanakassy, fondateur avec Baruch Bruce Edward Gottlieb du « laboratoire de Déberlinisation », fabrique d’art conceptuelle médiatique, dont il devient un membre actif. Le « laboratoire » est à l’origine de « l'Afro », monnaie conçue comme message d'espoir et symbole du panafricanisme, devant succéder au franc CFA, et matérialisé par des techniques numériques, permettant de concevoir des billets, dont certains sont à l'effigie de Léopold Sédar Senghor.
Aujourd’hui, Abdoulaye Soumaré travail avec Cap Grundheber dans le monde de la globalisation pour l’émergence d’une structure artistique de l’amour inconditionnel, dans laquelle ils œuvrent ensemble pour l’épanouissement. Dans la souveraineté collective et individuelle en accord aux aspirations de la communauté mondiale, à l’émancipation, la santé, l’éducation, la mobilité et la paix pour tous.
NDARINFO.COM
Abdoulaye Soumaré est né le 23 Septembre 1958 à Dakar. Son père, Ibnou Soumaré, était directeur de l’IFAN, Institut Fondamental d’Afrique Noir, et sa mère princesse Garmi du Cayor. Il fréquente très tôt des dignitaires politiques et la chefferie religieuse. Par honneur et devoir de mémoire, son père le fait homonyme, de son oncle, le général Abdoulaye Soumaré en pleine lutte, à côté de Modibo Keita, premier président de la république du Mali, contre la colonisation et le néocolonialisme naissant.
Abdoulaye sera personnellement confronté à l’éclatement de la fédération du Mali et, à l’échec des tentatives d’unir le continent africain, par l’arrestation de son oncle et d’autres valeureux panafricains, qui les uns après les autres trouveront le martyre ou finiront par être censurés totalement des affaires publiques. Très tôt, il se joint aux cellules de résistance pour la dignité humaine, qui s’établiront parmi les artistes. Il accompagne avec d’autres jeunes, Djibril Diop Mambetty, qui fut l’un des cinéastes africain le plus marquant de son époque et influencera cette génération à la libération de l’homme et de l’africain en particulier.
Soumaré refuse et critique très tôt les écoles du colonialisme pour finir par s’en faire un tracé et un chemin pour le futur. Son grand ami Mambetty lui dit un jour « Pour regarder ton avenir tu dois regarder derrière l’horizon, car cette limite dans le tiers monde est un horizon bouché ». Prenant le conseil du cinéaste à la lettre, il s’exil, comme des milliers de jeunes africains dans les années 80, vers l’Europe.
Il s’installe en Allemagne, où il continu son combat sur les grands thèmes que sont « la réunification du continent Africain » et « l’instauration de devises propres », dans le respect des recommandations ancestrales. Son choix conscient de l’exil en Allemagne lui permet de prendre du recul sur la France et ses colonies « indépendantes », mais qui plus que jamais sont manœuvrées socialement et économiquement par l’ancienne puissance coloniale. Il y retrouve son ami d’enfance qui a fréquenté comme lui l’école des Arts de Dakar, Mansour Ciss Kanakassy, fondateur avec Baruch Bruce Edward Gottlieb du « laboratoire de Déberlinisation », fabrique d’art conceptuelle médiatique, dont il devient un membre actif. Le « laboratoire » est à l’origine de « l'Afro », monnaie conçue comme message d'espoir et symbole du panafricanisme, devant succéder au franc CFA, et matérialisé par des techniques numériques, permettant de concevoir des billets, dont certains sont à l'effigie de Léopold Sédar Senghor.
Aujourd’hui, Abdoulaye Soumaré travail avec Cap Grundheber dans le monde de la globalisation pour l’émergence d’une structure artistique de l’amour inconditionnel, dans laquelle ils œuvrent ensemble pour l’épanouissement. Dans la souveraineté collective et individuelle en accord aux aspirations de la communauté mondiale, à l’émancipation, la santé, l’éducation, la mobilité et la paix pour tous.
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