Pour ce jour « le président de la République demande que chaque Sénégalais ou étranger vivant parmi nous offre à son prochain un cadeau, aussi modeste soit-il », indique le communiqué signé du porte-parole de la présidence Sérigne Mbacké Ndiaye.
Le texte precise également qu’ « aucune femme ne sera en prison ». Ainsi, « celles dont les peines et délits commis ne sont pas lourds, bénéficieront de la grâce présidentielle ».
« D’autres seront libérées sous conditions », ajoute le communiqué, soulignant que « les autres seront autorisées à sortir de prison du 19 janvier 2012 à partir de 00 h au 21 janvier 2012 ».
Selon le communiqué, les autorités compétentes ont reçu du Chef de l’Etat les instructions nécessaires à l’application correcte de ces deux mesures.
Pour des observateurs, cette mesure apparaît comme une immixtion dans le pouvoir judiciaire et une mesure discriminatoire. C’est l’avis de Mady Boiro de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis.
Ce juriste, cité par le site dakaractu.com, pense plutôt qu’il serait mieux indiqué pour le président de la République d’user de son droit de grâce pour faire libérer les détenues. Mais tout de même, précise-t-il, un crime reste un crime quel qu’en soit l’auteur (homme ou femme).
Le texte precise également qu’ « aucune femme ne sera en prison ». Ainsi, « celles dont les peines et délits commis ne sont pas lourds, bénéficieront de la grâce présidentielle ».
« D’autres seront libérées sous conditions », ajoute le communiqué, soulignant que « les autres seront autorisées à sortir de prison du 19 janvier 2012 à partir de 00 h au 21 janvier 2012 ».
Selon le communiqué, les autorités compétentes ont reçu du Chef de l’Etat les instructions nécessaires à l’application correcte de ces deux mesures.
Pour des observateurs, cette mesure apparaît comme une immixtion dans le pouvoir judiciaire et une mesure discriminatoire. C’est l’avis de Mady Boiro de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis.
Ce juriste, cité par le site dakaractu.com, pense plutôt qu’il serait mieux indiqué pour le président de la République d’user de son droit de grâce pour faire libérer les détenues. Mais tout de même, précise-t-il, un crime reste un crime quel qu’en soit l’auteur (homme ou femme).