L’expert en réinstallation Mamadou DIÉDHIOU, a rappelé, dimanche, la ferme volonté du projet de Relèvement d'Urgence et Résilience à Saint-Louis (SERRP) de sécuriser les habitants installés sur cette zone à risque, en proie à des assauts incessants des vagues. Dans l’optique de prévenir les supplices liés à l’avancement de la mer, les impactés seront installés à DIOUGOB où il « bénéficieront de toutes les commodités et tout le confort qu’il faut ».
M. DIÉDHIOU signale que « les options de compensation ne sont pas définitives ». « Nous venons de terminer le recensement. Nous étions en train de partager avec les populations sur les options de compensation. Celles-ci feront l’objet de partages et de consensus avec les différents sous-quartiers de la Langue de Barbarie », a-t-il précisé.
Il faut préciser que l’acquisition des terrains a été sécurisée et subventionnée par l’État. Les bénéficiaires auront droit à des parcelles aménagées avec l’eau, l’électricité, un système d’assainissement en eaux pluviales et usées.
« C’est juste une formule de base qui a été présentée aux populations », note M. DIÉDHIOU, en réponse à la sortie d’un collectif qui soutenait que la proposition était entérinée.
« Il y aura une possibilité d’aller en hauteur selon le profil de l’impacté et la valeur du bâtiment affecté », a expliqué l’expert qui demande aux membres du collectif de mieux s’informer sur les enjeux du programme.
M. DIÉDHIOU signale que « les options de compensation ne sont pas définitives ». « Nous venons de terminer le recensement. Nous étions en train de partager avec les populations sur les options de compensation. Celles-ci feront l’objet de partages et de consensus avec les différents sous-quartiers de la Langue de Barbarie », a-t-il précisé.
Il faut préciser que l’acquisition des terrains a été sécurisée et subventionnée par l’État. Les bénéficiaires auront droit à des parcelles aménagées avec l’eau, l’électricité, un système d’assainissement en eaux pluviales et usées.
« C’est juste une formule de base qui a été présentée aux populations », note M. DIÉDHIOU, en réponse à la sortie d’un collectif qui soutenait que la proposition était entérinée.
« Il y aura une possibilité d’aller en hauteur selon le profil de l’impacté et la valeur du bâtiment affecté », a expliqué l’expert qui demande aux membres du collectif de mieux s’informer sur les enjeux du programme.