Le fil des « transversales » de Soukeina Khalil se prolonge. L’artiste sénégalo-marocaine, généreuse dans son art, renoue avec cette symphonie artistique qu’elle avait initiée, jadis, et invite toutes les expressions artistiques au partage, à la symbiose, au « voyage à l’intérieur de soi-même ».
« Les portées du chœur », cette évocation bien symbolique, va regrouper pour l’édition 2014, dans la demeure de l’artiste, sur la digue en face du fleuve, des poètes, des artistes plasticiens, des musiciens, danseurs, slameurs et chanteurs, bref, tous les acteurs de l’Art à Saint-Louis pour une performance commune. « Spirituellement, on est tous liés», dit-elle.
Pour elle, « les portées du chœur » vont exposer « tout ce que le cœur porte dans ses mémoires cellulaires ». « C’est un miroir », a-t-elle ajouté.
Les cimaises de son atelier laissent entrevoir, déjà, la richesse de ces cris de cœur, ces expressions du cœur, ces mots internes que l’artiste veut partager avec autrui. De l’intérieur vers l’extérieur, elle invite à découvrir les trésors de l’être, à travers une démarche thérapeutique qui, par l’inspiration créatrice, permet à l’être d’embellir la réalité, le présent.
Sa toile musicale, explicite, mais ésotérique est la parole puissante d’un cœur émotif et positif. Soukeina Khalil déploie les arpèges, « entre le grave et l’aigu », entre les douleurs et les joies, pour « embellir le monde avec la lumière ».
La sonorité est le fondement, ensuite viennent la forme, les lignes et les personnages. « Au départ, c’est la musique, le son. Lorsqu’il atteint un certain niveau, il devient couleur. Ce sont les vibrations qui vont donner les couleurs », confesse Soukeina.
Les portées du « chœur », ce 05 juin 2014, chez Soukeina Khalil.
« Les portées du chœur », cette évocation bien symbolique, va regrouper pour l’édition 2014, dans la demeure de l’artiste, sur la digue en face du fleuve, des poètes, des artistes plasticiens, des musiciens, danseurs, slameurs et chanteurs, bref, tous les acteurs de l’Art à Saint-Louis pour une performance commune. « Spirituellement, on est tous liés», dit-elle.
Pour elle, « les portées du chœur » vont exposer « tout ce que le cœur porte dans ses mémoires cellulaires ». « C’est un miroir », a-t-elle ajouté.
Les cimaises de son atelier laissent entrevoir, déjà, la richesse de ces cris de cœur, ces expressions du cœur, ces mots internes que l’artiste veut partager avec autrui. De l’intérieur vers l’extérieur, elle invite à découvrir les trésors de l’être, à travers une démarche thérapeutique qui, par l’inspiration créatrice, permet à l’être d’embellir la réalité, le présent.
Sa toile musicale, explicite, mais ésotérique est la parole puissante d’un cœur émotif et positif. Soukeina Khalil déploie les arpèges, « entre le grave et l’aigu », entre les douleurs et les joies, pour « embellir le monde avec la lumière ».
La sonorité est le fondement, ensuite viennent la forme, les lignes et les personnages. « Au départ, c’est la musique, le son. Lorsqu’il atteint un certain niveau, il devient couleur. Ce sont les vibrations qui vont donner les couleurs », confesse Soukeina.
Les portées du « chœur », ce 05 juin 2014, chez Soukeina Khalil.