Le combat mortel se serait déroulé dans les provinces du Tibesti et du Kanem, à 300 km environ de la capitale N’Djamena. Dans une sortie lundi, l’armée tchadienne avait affirmé avoir tué plus de 300 rebelles, fait 150 prisonniers et perdu cinq militaires. Elle assurait que la situation était sous contrôle. Mais à en croire les rebelles, c’est ce combat qui a précipité la mort du chef d’Etat. Il aurait été blessé, mais l’information n’avait pas été confirmée de source officielle.
Les circonstances du décès
Le correspondant de la radio RFI affirme qu’Idriss Déby aurait été blessé le 18 avril à 400 km de N’Djamena. Selon le chef des rebelles, qui n’a pas revendiqué avoir tiré sur le président, un hélicoptère se serait posé au cœur du combat pour évacuer le chef de guerre vers la capitale. Les chars auraient été alors immédiatement déployés autour du palais présidentiel. Idriss Déby devait s’adresser à la population lundi soir place de la Nation, pour célébrer sa victoire électorale. Il ne s’était pas présenté. Une absence qui avait accentué les rumeurs macabres.
Ce matin, un conseil militaire a chargé un des fils d’Idriss Déby, général quatre étoiles, âgé de 37 ans et commandant de la garde présidentielle, Mahamat Idriss Déby Itno, de diriger une transition de 18 mois qui doit aboutir à de nouvelles élections dans le pays.
Les circonstances du décès
Le correspondant de la radio RFI affirme qu’Idriss Déby aurait été blessé le 18 avril à 400 km de N’Djamena. Selon le chef des rebelles, qui n’a pas revendiqué avoir tiré sur le président, un hélicoptère se serait posé au cœur du combat pour évacuer le chef de guerre vers la capitale. Les chars auraient été alors immédiatement déployés autour du palais présidentiel. Idriss Déby devait s’adresser à la population lundi soir place de la Nation, pour célébrer sa victoire électorale. Il ne s’était pas présenté. Une absence qui avait accentué les rumeurs macabres.
Ce matin, un conseil militaire a chargé un des fils d’Idriss Déby, général quatre étoiles, âgé de 37 ans et commandant de la garde présidentielle, Mahamat Idriss Déby Itno, de diriger une transition de 18 mois qui doit aboutir à de nouvelles élections dans le pays.