La Fédération nationale des cadres libéraux, après avoir réaffirmé hier sa confiance en Karim Meïssa Wade, s’engage à porter le fils d’Abdoulaye Wade à la magistrature suprême. Cela, soutiennent les camarades d’Abdoul Aziz Diop, pour sortir le pays du ‘’gouffre’’ dans lequel le régime de Macky Sall l’a entraîné.
La situation actuelle du pays inquiète les cadres libéraux. Ces derniers, dans une déclaration parvenue hier à EnQuête, estiment que ‘’le pays vit des moments de doute et de désespoir marqués par un système de gouvernance politique et économique à la fois moribond et angoissant’’. Cette situation, selon la Fédération nationale des cadres libéraux (FNCL), est caractérisée par un fort taux de chômage et par une violence sans précédent.
‘’La majorité des ménages sénégalais s’interrogent sur l’éducation de leurs enfants, leur santé, et surtout sur les perspectives économiques peu reluisantes. Au moment où la plupart des dirigeants de ce monde travaillent à offrir à leurs populations un environnement propice à leur épanouissement vital, le Président Macky Sall et ses acolytes semblent se satisfaire de leur confort et prestige personnels, familiaux et amicaux sur le dos de nos compatriotes’’, fulminent les camarades de Abdoul Aziz Diop, secrétaire général de la FNCL.
Face à cette situation qu’ils qualifient d’‘’anxieuse’’, les cadres libéraux estiment que seul Karim Wade pourra renverser la tendance. C’est pourquoi ils lui réaffirment leur confiance et lui réitèrent leur soutien à sa candidature. En outre, ils promettent de tout mettre en œuvre pour son accession à la magistrature suprême afin de remettre le Sénégal sur les rails du développement endogène et durable. Selon les cadres libéraux, cette candidature de Karim Wade à l’élection présidentielle de 2019 ébranle tant le pouvoir en place qu’il s’est lancé dans une stratégie de fraudes, le poussant jusqu’à vouloir biaiser les fondamentaux qui régissent la magistrature de notre pays et le processus électoral.
C’est pourquoi, ils condamnent avec énergie cette ‘’forfaiture’’ qui n’a que le seul but de maintenir au top management de notre système judiciaire des magistrats soumis à l’Exécutif. A cet égard, ils soutiennent le combat de l’Union des magistrats sénégalais (UMS) et demandent au Parti démocratique sénégalais (PDS), à toute l’opposition et à la société civile de s’impliquer dans cette lutte pour la séparation des pouvoirs, pilier d’une démocratie saine.
Relativement au processus électoral, la FNCL constate que plus de deux tiers des commissions administratives mises en place, conformément à l’arrêté N°2016-14898 du 03 octobre 2016 du ministre chargé des élections, ne fonctionnent pas dans les départements du pays, faute de matériels adéquats. C’est pourquoi elle juge impératif pour le gouvernement de faire la situation de la confection des nouvelles cartes d’identité numérisées CEDEAO couplée à l’inscription sur les listes électorales.
Dans la même veine, la FNCL demande au PDS de mieux prendre en charge le contentieux préélectoral. Elle lance un appel à tous les démocrates pour exiger la démission d’Abdoulaye Daouda Diallo, responsable de l’APR, du ministère de l’Intérieur, afin d’apaiser le climat préélectoral. En outre, elle invite la communauté internationale et, notamment, les partenaires du Sénégal, à s’impliquer comme de coutume, dans la recherche d’un processus électoral consensuel validé par tous les acteurs et à être plus exigeants avec le gouvernement du Sénégal sur la gouvernance des droits et des ressources publiques pour éviter des lendemains incertains à notre pays.
La situation actuelle du pays inquiète les cadres libéraux. Ces derniers, dans une déclaration parvenue hier à EnQuête, estiment que ‘’le pays vit des moments de doute et de désespoir marqués par un système de gouvernance politique et économique à la fois moribond et angoissant’’. Cette situation, selon la Fédération nationale des cadres libéraux (FNCL), est caractérisée par un fort taux de chômage et par une violence sans précédent.
‘’La majorité des ménages sénégalais s’interrogent sur l’éducation de leurs enfants, leur santé, et surtout sur les perspectives économiques peu reluisantes. Au moment où la plupart des dirigeants de ce monde travaillent à offrir à leurs populations un environnement propice à leur épanouissement vital, le Président Macky Sall et ses acolytes semblent se satisfaire de leur confort et prestige personnels, familiaux et amicaux sur le dos de nos compatriotes’’, fulminent les camarades de Abdoul Aziz Diop, secrétaire général de la FNCL.
Face à cette situation qu’ils qualifient d’‘’anxieuse’’, les cadres libéraux estiment que seul Karim Wade pourra renverser la tendance. C’est pourquoi ils lui réaffirment leur confiance et lui réitèrent leur soutien à sa candidature. En outre, ils promettent de tout mettre en œuvre pour son accession à la magistrature suprême afin de remettre le Sénégal sur les rails du développement endogène et durable. Selon les cadres libéraux, cette candidature de Karim Wade à l’élection présidentielle de 2019 ébranle tant le pouvoir en place qu’il s’est lancé dans une stratégie de fraudes, le poussant jusqu’à vouloir biaiser les fondamentaux qui régissent la magistrature de notre pays et le processus électoral.
C’est pourquoi, ils condamnent avec énergie cette ‘’forfaiture’’ qui n’a que le seul but de maintenir au top management de notre système judiciaire des magistrats soumis à l’Exécutif. A cet égard, ils soutiennent le combat de l’Union des magistrats sénégalais (UMS) et demandent au Parti démocratique sénégalais (PDS), à toute l’opposition et à la société civile de s’impliquer dans cette lutte pour la séparation des pouvoirs, pilier d’une démocratie saine.
Relativement au processus électoral, la FNCL constate que plus de deux tiers des commissions administratives mises en place, conformément à l’arrêté N°2016-14898 du 03 octobre 2016 du ministre chargé des élections, ne fonctionnent pas dans les départements du pays, faute de matériels adéquats. C’est pourquoi elle juge impératif pour le gouvernement de faire la situation de la confection des nouvelles cartes d’identité numérisées CEDEAO couplée à l’inscription sur les listes électorales.
Dans la même veine, la FNCL demande au PDS de mieux prendre en charge le contentieux préélectoral. Elle lance un appel à tous les démocrates pour exiger la démission d’Abdoulaye Daouda Diallo, responsable de l’APR, du ministère de l’Intérieur, afin d’apaiser le climat préélectoral. En outre, elle invite la communauté internationale et, notamment, les partenaires du Sénégal, à s’impliquer comme de coutume, dans la recherche d’un processus électoral consensuel validé par tous les acteurs et à être plus exigeants avec le gouvernement du Sénégal sur la gouvernance des droits et des ressources publiques pour éviter des lendemains incertains à notre pays.
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