A quelques encablures du lancement du référentiel «Sénégal 2050 » qui se tient ce lundi 14 octobre, le chef de l’Etat, Bassirou Diomaye Faye, a présidé un séminaire gouvernemental dans le but de partager les grandes orientations de ce nouveau document de politique économique et sociale.
Le président de la république a tenu à sensibiliser son gouvernement sur la nécessité de la transparence. « Nous devons être irréprochables, a-t-il dit. Si nous sommes pris à défaut dans le cadre de la gouvernance, le peuple sera désenchanté et nous ne pourrons plus le mobiliser ».
Et de se faire plus précis à l’endroit des membres du gouvernement : « À partir de maintenant, rappelons-nous des péripéties qui nous ont amenés ici. Le Premier ministre l’a dit un programme, ça se défend. Des actions, ça se vulgarise et un gouvernement, ça doit être solidaire, mais dans la vérité ».
Qui plus est, a dit le président Diomaye Faye : « Si l'un d'entre nous, en toute responsabilité et en toute connaissance de cause, décide dans l'intimité de son bureau de transgresser, il ne peut entraîner personne dans une solidarité gouvernementale. Ce n'est pas notre rôle. Nous devons tous le comprendre ». Pour le chef de l’Etat, « ces choix-là doivent être assumés par leurs auteurs ».
Le président de la république a tenu à sensibiliser son gouvernement sur la nécessité de la transparence. « Nous devons être irréprochables, a-t-il dit. Si nous sommes pris à défaut dans le cadre de la gouvernance, le peuple sera désenchanté et nous ne pourrons plus le mobiliser ».
Et de se faire plus précis à l’endroit des membres du gouvernement : « À partir de maintenant, rappelons-nous des péripéties qui nous ont amenés ici. Le Premier ministre l’a dit un programme, ça se défend. Des actions, ça se vulgarise et un gouvernement, ça doit être solidaire, mais dans la vérité ».
Qui plus est, a dit le président Diomaye Faye : « Si l'un d'entre nous, en toute responsabilité et en toute connaissance de cause, décide dans l'intimité de son bureau de transgresser, il ne peut entraîner personne dans une solidarité gouvernementale. Ce n'est pas notre rôle. Nous devons tous le comprendre ». Pour le chef de l’Etat, « ces choix-là doivent être assumés par leurs auteurs ».