Pour Gilles Salvat, directeur de la santé animale et du bien-être à l’Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation), « C’est un sujet de préoccupation car les cas de Campylobacter se multiplient. Ils se caractérisent par des diarrhées avec de la fièvre et des douleurs abdominales qui durent de vingt-quatre heures à quelques jours. Les complications sont plus rares » explique t-il au journal le Parisien.
Bien que la bactérie Campylobacter puisse se trouver dans de nombreuses carcasses d’animaux, les volailles seraient plus particulièrement touchées, avec 80%* des poulets, dindes ou encore pintades contaminées. Le label bio et label rouge ne protègent pas de cette bactérie.
Se protéger de la bactérie Campylobacter, deux solutions efficaces
Pour éviter toute contamination par la bactérie Campylobacter, deux règles sont à respecter. La première : bien cuire la volaille. En effet, la bactérie ne survivant pas à la cuisson, faire chauffer votre poulet à 65° pendant une minute suffit à s’en débarrasser.
Seconde règle : ne pas mettre en contact la volaille crue et les accompagnements qui ne seront pas cuits. Pour cela, pensez à laver votre plan de travail ou votre planche de découpe après avoir posé ou coupé votre volaille. De même, pensez à laver votre couteau après avoir découpé la volaille crue afin d’éviter le passage de la bactérie entre votre poulet et vos légumes ou morceaux de pain.
* rapport européen de 2009
Louise Rodriguez
Marieclaire.fr
Bien que la bactérie Campylobacter puisse se trouver dans de nombreuses carcasses d’animaux, les volailles seraient plus particulièrement touchées, avec 80%* des poulets, dindes ou encore pintades contaminées. Le label bio et label rouge ne protègent pas de cette bactérie.
Se protéger de la bactérie Campylobacter, deux solutions efficaces
Pour éviter toute contamination par la bactérie Campylobacter, deux règles sont à respecter. La première : bien cuire la volaille. En effet, la bactérie ne survivant pas à la cuisson, faire chauffer votre poulet à 65° pendant une minute suffit à s’en débarrasser.
Seconde règle : ne pas mettre en contact la volaille crue et les accompagnements qui ne seront pas cuits. Pour cela, pensez à laver votre plan de travail ou votre planche de découpe après avoir posé ou coupé votre volaille. De même, pensez à laver votre couteau après avoir découpé la volaille crue afin d’éviter le passage de la bactérie entre votre poulet et vos légumes ou morceaux de pain.
* rapport européen de 2009
Louise Rodriguez
Marieclaire.fr