Le collectif «Noo Lank » avertit solennellement les Sénégalais «sur le projet du gouvernement de faire vacciner tous les Sénégalais à partir de la fin du mois de mars 2021 ». Dans une déclaration reçue par Libération online, le collectif révèle : « En vue de cette vaccination générale, le Président a décidé de se donner les moyens de l’imposer, en changeant les dispositions de la loi 69-9 sur l’état d’urgence pour prendre toutes les mesures qu’il estimera utiles pour l’exécution de son plan d’urgence sanitaire, incluant la vaccination de tous les Sénégalais. Les articles 24 et 25 proposés 9 visent à avoir les pouvoirs de l’imposer avec force ».
«Noo Lank », «estime que cet empressement n’est pas conforme aux risques présentés par le vaccin, rejeté par d’éminents prix Nobel de médecine et des scientifiques de rang mondial parce que les compagnies pharmaceutiques qui les fournissent n’offrent ni les garanties nécessaires, ni les informations transparentes requises sur ses risques (…). Malgré cela, c’est l’agenda international dicté par l’Oms et les compagnies pharmaceutiques qui guident nos autorités publiques et non la situation sanitaire spécifique du Sénégal, marquée par une résilience immunitaire des populations face à cette épidémie ».
Amadou Guèye et Cie affirment que « c’est précisément la volonté d’imposer aux citoyens Sénégalais la vaccination qui explique l’introduction de deux nouveaux articles dans la loi 69-9 sur l’état d’urgence et de siège. En effet, en l’état actuel, le Président de la République et ses ministres ne disposent pas de ce pouvoir. Mais les nouveaux articles 24 et 25 lui donneront ce pouvoir qu’il pourra déléguer.
Il pourra prendre toute mesure de répression contre les individus ou groupes qui s’opposeront par leurs paroles et actions à son plan d’urgence sanitaire. Et puisque le gouvernement est conscient qu’il fera face à une opposition, s’il veut introduire ce vaccin au Sénégal dès l’année prochaine, le Président Macky Sall prend d’avance les changements requis (…) L’article 24 lui donnera des pouvoirs plus larges que ceux qu’il a dans un état d’urgence classique et il n’aura pas besoin de passer devant l’Assemblée ».
Aussi, «Noo Lank » «compte informer plus largement les citoyens et rencontrer les leaders pour se mobiliser contre cette forfaiture », car «l’heure est grave ».
«Noo Lank », «estime que cet empressement n’est pas conforme aux risques présentés par le vaccin, rejeté par d’éminents prix Nobel de médecine et des scientifiques de rang mondial parce que les compagnies pharmaceutiques qui les fournissent n’offrent ni les garanties nécessaires, ni les informations transparentes requises sur ses risques (…). Malgré cela, c’est l’agenda international dicté par l’Oms et les compagnies pharmaceutiques qui guident nos autorités publiques et non la situation sanitaire spécifique du Sénégal, marquée par une résilience immunitaire des populations face à cette épidémie ».
Amadou Guèye et Cie affirment que « c’est précisément la volonté d’imposer aux citoyens Sénégalais la vaccination qui explique l’introduction de deux nouveaux articles dans la loi 69-9 sur l’état d’urgence et de siège. En effet, en l’état actuel, le Président de la République et ses ministres ne disposent pas de ce pouvoir. Mais les nouveaux articles 24 et 25 lui donneront ce pouvoir qu’il pourra déléguer.
Il pourra prendre toute mesure de répression contre les individus ou groupes qui s’opposeront par leurs paroles et actions à son plan d’urgence sanitaire. Et puisque le gouvernement est conscient qu’il fera face à une opposition, s’il veut introduire ce vaccin au Sénégal dès l’année prochaine, le Président Macky Sall prend d’avance les changements requis (…) L’article 24 lui donnera des pouvoirs plus larges que ceux qu’il a dans un état d’urgence classique et il n’aura pas besoin de passer devant l’Assemblée ».
Aussi, «Noo Lank » «compte informer plus largement les citoyens et rencontrer les leaders pour se mobiliser contre cette forfaiture », car «l’heure est grave ».