Le delta du fleuve Sénégal a été retenu comme zone pilote d’un projet de la FAO portant sur l’amélioration des connaissances sur les oiseaux d’eau dans le Sahel,.
Intitulé "Renforcement d’expertise au sud du Sahara sur les oiseaux d’eau et leur utilisation rationnelle en faveur des communautés et de leur environnement", ce projet piloté par la FAO, l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), cherche à améliorer les connaissances sur les oiseaux d’eau dans le Sahel.
Il porte également sur le renforcement des capacités nationales pour le suivi de leurs populations et l’étude des prélèvements et filières d’utilisation des oiseaux d’eau (chasse vivrière, chasse commerciale et autres usages), rapporte Chine nouvelle, citant Bruno Portier, coordinateur de la FAO.
Ce dernier a précisé, au cours d’un échange avec des journalistes, que le delta du fleuve Sénégal a été retenu comme zone pilote du projet, au même titre que le delta intérieur du Niger au Mali, le bassin du lac Tchad et le delta et la vallée du Nil en Egypte.
"Le delta du fleuve Sénégal est une des quatre grandes zones humides majeures du pourtour péri-saharien", a-t-il relevé, en faisant observer que des centaines de milliers d’oiseaux d’eau occupent la réserve transfrontalière du delta du fleuve Sénégal, à cheval sur la Mauritanie et le Sénégal.
"Le parc national des oiseaux du Djoudj (à Saint-Louis, nord du Sénégal) est d’ailleurs un joyau naturel reconnu mondialement pour le spectacle fantastique qu’offrent aux visiteurs les milliers d’oiseaux d’eau qui y vivent", a souligné M. Portier.
Il a fait observer que les zones humides du delta subissent de fortes pressions, faisant état d’une "intense compétition sur les ressources en eau et en terres arables dans le delta".
A travers ce projet, la FAO vise en définitive la préservation des habitats naturels, en vue de garantir à long terme les services importants rendus par ces zones humides et dont les populations locales tirent de nombreux bénéfices, notamment en termes de sécurité alimentaire et de développement local, selon son coordonnateur.
APS
Intitulé "Renforcement d’expertise au sud du Sahara sur les oiseaux d’eau et leur utilisation rationnelle en faveur des communautés et de leur environnement", ce projet piloté par la FAO, l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), cherche à améliorer les connaissances sur les oiseaux d’eau dans le Sahel.
Il porte également sur le renforcement des capacités nationales pour le suivi de leurs populations et l’étude des prélèvements et filières d’utilisation des oiseaux d’eau (chasse vivrière, chasse commerciale et autres usages), rapporte Chine nouvelle, citant Bruno Portier, coordinateur de la FAO.
Ce dernier a précisé, au cours d’un échange avec des journalistes, que le delta du fleuve Sénégal a été retenu comme zone pilote du projet, au même titre que le delta intérieur du Niger au Mali, le bassin du lac Tchad et le delta et la vallée du Nil en Egypte.
"Le delta du fleuve Sénégal est une des quatre grandes zones humides majeures du pourtour péri-saharien", a-t-il relevé, en faisant observer que des centaines de milliers d’oiseaux d’eau occupent la réserve transfrontalière du delta du fleuve Sénégal, à cheval sur la Mauritanie et le Sénégal.
"Le parc national des oiseaux du Djoudj (à Saint-Louis, nord du Sénégal) est d’ailleurs un joyau naturel reconnu mondialement pour le spectacle fantastique qu’offrent aux visiteurs les milliers d’oiseaux d’eau qui y vivent", a souligné M. Portier.
Il a fait observer que les zones humides du delta subissent de fortes pressions, faisant état d’une "intense compétition sur les ressources en eau et en terres arables dans le delta".
A travers ce projet, la FAO vise en définitive la préservation des habitats naturels, en vue de garantir à long terme les services importants rendus par ces zones humides et dont les populations locales tirent de nombreux bénéfices, notamment en termes de sécurité alimentaire et de développement local, selon son coordonnateur.
APS