La prise en compte de l’ensemble des préoccupations du secteur de l’information et de la communication reste un défi pour le syndicat. En effet, le Synpics est en train de mijoter un plan pour la mise sur pieds d’une haute autorité dénommée Conseil supérieur de la presse.
« Ce qui est plus important et sur quoi tout le monde s’accorde, aujourd’hui, c’est qu’il y a un grand malaise dans notre profession et qu’il nous faut réagir et mettre en place quelque chose qui fédère toutes les structures de la profession », fera, d’emblée savoir Diatou Cissé, secrétaire générale du Synpics, convaincue qu’il reste entendu qu’il faut à la presse un noyau pour porter la réflexion qui sera naturellement élargie à l’ensemble de la corporation, pour arriver à une structure consensuelle, à même d’apporter les changements nécessaires.
Le Conseil supérieur de la presse se voudra une assemblée délibérante suprême, un organe collégial qui rassemblerait, à intervalles réguliers, tous les acteurs du secteur, afin d’arbitrer, de réfléchir, d’alerter, d’aviser, d’orienter, de recommander et de proposer, à tous ceux qui y adhèrent et à leurs interlocuteurs, des voies rédemptrices. Toutefois, il faut signaler que ceci n’est qu’une idée lancée et dont la réflexion, sur la démarche à tenir, est soumise à toutes les sensibilités, les personnes ressources dont regorge la profession, pour arriver à cette instance qui sera l’interlocutrice privilégiée pour traiter, avec les institutions, les questions des médias au Sénégal.
Le SYNPICS a réuni, sous la conduite du journaliste Sidy Gaye, des patrons et responsables d’entreprise de presse, des journalistes et techniciens de l’information, ainsi que des journalistes à la retraite, pour mener la réflexion. Un Comité de pilotage sera mis sur pied, à charge de prendre à bras le corps la matérialisation du projet, en élaborant les termes de références, un programme d’activités et un échéancier, pour la mise en place effective du Conseil.
« Ce qui est plus important et sur quoi tout le monde s’accorde, aujourd’hui, c’est qu’il y a un grand malaise dans notre profession et qu’il nous faut réagir et mettre en place quelque chose qui fédère toutes les structures de la profession », fera, d’emblée savoir Diatou Cissé, secrétaire générale du Synpics, convaincue qu’il reste entendu qu’il faut à la presse un noyau pour porter la réflexion qui sera naturellement élargie à l’ensemble de la corporation, pour arriver à une structure consensuelle, à même d’apporter les changements nécessaires.
Le Conseil supérieur de la presse se voudra une assemblée délibérante suprême, un organe collégial qui rassemblerait, à intervalles réguliers, tous les acteurs du secteur, afin d’arbitrer, de réfléchir, d’alerter, d’aviser, d’orienter, de recommander et de proposer, à tous ceux qui y adhèrent et à leurs interlocuteurs, des voies rédemptrices. Toutefois, il faut signaler que ceci n’est qu’une idée lancée et dont la réflexion, sur la démarche à tenir, est soumise à toutes les sensibilités, les personnes ressources dont regorge la profession, pour arriver à cette instance qui sera l’interlocutrice privilégiée pour traiter, avec les institutions, les questions des médias au Sénégal.
Le SYNPICS a réuni, sous la conduite du journaliste Sidy Gaye, des patrons et responsables d’entreprise de presse, des journalistes et techniciens de l’information, ainsi que des journalistes à la retraite, pour mener la réflexion. Un Comité de pilotage sera mis sur pied, à charge de prendre à bras le corps la matérialisation du projet, en élaborant les termes de références, un programme d’activités et un échéancier, pour la mise en place effective du Conseil.