Le Parc Nationale des Oiseaux du DJOUDJ est en danger. Lors d’une prospection de routine, des agents ont découvert des restes de bébés pélicans tués. Une opération coup de point de poing sera lancée, mercredi, après le constat, soutenue par les écogardes et la compagnie de la brigade des sapeurs-pompiers de Richard-Toll. « Ils ciblent spécialement les petits parce qu’ils disent que leur chair est plus tendre », a révélé le commandant Mallé GUEYE.
Dix braconniers ont été trouvés dans une zone du Parc qu’ils avaient érigé en campement de chasse. Une course poursuite sera lancée et 2 personnes seront arrêtées. Le conservateur GUÈYE renseigne que des matériels de pêcheurs qui faisaient des prélèvements illicites sur les eaux ont été saisis.
En plus de cette forfaiture, des éleveurs locaux ont pris la mauvaise habitude d’utiliser l’espace protéger comme zone de pâturage pour le bétail. En lieu et place des oiseaux, les touristes ont tendance désormais à contempler des promenades de bœufs sur le sanctuaire. Des sensibilisations sont menées auprès des chefs de village pour combattre ce fléau en propagation.
Il faut dire que malgré leur volonté de sécuriser l’unité écologique, les agents font face à un manque de moyens notoire. Ils ne disposent pas d’effectifs suffisants, d’outils de communication adéquats et de moyens nautiques adaptés. La carence de ces dispositifs opérationnels s’accentue devant la persistance du braconnage sur ce parc ornithologique classé patrimoine mondial de l’humanité.
Dix braconniers ont été trouvés dans une zone du Parc qu’ils avaient érigé en campement de chasse. Une course poursuite sera lancée et 2 personnes seront arrêtées. Le conservateur GUÈYE renseigne que des matériels de pêcheurs qui faisaient des prélèvements illicites sur les eaux ont été saisis.
En plus de cette forfaiture, des éleveurs locaux ont pris la mauvaise habitude d’utiliser l’espace protéger comme zone de pâturage pour le bétail. En lieu et place des oiseaux, les touristes ont tendance désormais à contempler des promenades de bœufs sur le sanctuaire. Des sensibilisations sont menées auprès des chefs de village pour combattre ce fléau en propagation.
Il faut dire que malgré leur volonté de sécuriser l’unité écologique, les agents font face à un manque de moyens notoire. Ils ne disposent pas d’effectifs suffisants, d’outils de communication adéquats et de moyens nautiques adaptés. La carence de ces dispositifs opérationnels s’accentue devant la persistance du braconnage sur ce parc ornithologique classé patrimoine mondial de l’humanité.
NDARINFO.COM