Le Conseil des diffuseurs et éditeurs de presse du Sénégal (CDEPS) a lancé ce mercredi un appel pressant au président de la République, Bassirou Diomaye Faye, pour engager un « dialogue rénové avec la presse », essentiel à la survie et au développement du secteur.
Lors d’un point de presse consacré à la situation économique préoccupante des entreprises de presse, le président du CDEPS, Mamadou Ibra Kane, a exprimé ses inquiétudes face à une crise sans précédent aggravée par les conséquences de la pandémie de Covid-19.
« À terme, la menace de fermeture des entreprises de presse est bien réelle. Plusieurs centaines d’emplois vont être perdus », a-t-il souligné.
Mamadou Ibra Kane a également critiqué les mesures prises par le nouveau gouvernement en place depuis dix mois, qu'il a qualifiées d'inacceptables pour l'entreprise de presse. Il a signalé que les cotisations sociales destinées aux travailleurs du secteur ne sont plus versées régulièrement, menaçant ainsi leur couverture médicale.
Le président du CDEPS a affirmé que le Sénégal nécessite une presse républicaine, libre et indépendante, qui n'est ni un adversaire ni un ennemi, mais bien un acteur clé du développement. « La presse peut être un formidable outil de sécurisation des politiques publiques des dirigeants légitimement choisis par le Sénégal », a-t-il poursuivi, insistant sur l'importance d'une presse libre pour la solidité politique, économique et sociale du pays.
En conclusion, il a lancé un appel à tous les citoyens sénégalais, à la représentation nationale, à la société civile et aux partenaires pour œuvrer ensemble à la création d’un environnement propice au renforcement de la liberté de la presse et de l’état de droit.
La rencontre a été marquée par la présence de plusieurs patrons de presse, journalistes et techniciens des médias, réunis autour de l’urgence de revitaliser un secteur vital pour la démocratie sénégalaise.
Lors d’un point de presse consacré à la situation économique préoccupante des entreprises de presse, le président du CDEPS, Mamadou Ibra Kane, a exprimé ses inquiétudes face à une crise sans précédent aggravée par les conséquences de la pandémie de Covid-19.
« À terme, la menace de fermeture des entreprises de presse est bien réelle. Plusieurs centaines d’emplois vont être perdus », a-t-il souligné.
Mamadou Ibra Kane a également critiqué les mesures prises par le nouveau gouvernement en place depuis dix mois, qu'il a qualifiées d'inacceptables pour l'entreprise de presse. Il a signalé que les cotisations sociales destinées aux travailleurs du secteur ne sont plus versées régulièrement, menaçant ainsi leur couverture médicale.
Le président du CDEPS a affirmé que le Sénégal nécessite une presse républicaine, libre et indépendante, qui n'est ni un adversaire ni un ennemi, mais bien un acteur clé du développement. « La presse peut être un formidable outil de sécurisation des politiques publiques des dirigeants légitimement choisis par le Sénégal », a-t-il poursuivi, insistant sur l'importance d'une presse libre pour la solidité politique, économique et sociale du pays.
En conclusion, il a lancé un appel à tous les citoyens sénégalais, à la représentation nationale, à la société civile et aux partenaires pour œuvrer ensemble à la création d’un environnement propice au renforcement de la liberté de la presse et de l’état de droit.
La rencontre a été marquée par la présence de plusieurs patrons de presse, journalistes et techniciens des médias, réunis autour de l’urgence de revitaliser un secteur vital pour la démocratie sénégalaise.