A la suite d’une tournée effectuée dans la zone Nord et plus précisément à Savoigne, localité située à 30 kilomètres de Saint-Louis, le Syndicat national des travailleurs des industries alimentaires de la Confédération nationale des travailleurs du Sénégal (Sentenac) a fait face à la presse. Il se prononçait sur les problèmes que rencontrent les travailleurs de la chaîne (de) tomate. Ainsi, a-t-il dénoncé ‘une concurrence déloyale’ dont la Société de conserverie alimentaire du Sénégal (Socas) est victime. D’après Lamine Fall, secrétaire général du syndicat, la Socas est confrontée à d’énormes soucis créés par une concurrence excessive ‘qui dénature gravement la compétitivité de l’entreprise inopportune à toute saine compétition’. L’entreprise Agroline est pointée du doigt comme étant à l’origine des problèmes des travailleurs de la Socas. ‘Les difficultés que traverse la Socas sont dues à la naissance d’une entreprise dénommée Agroline qui crée le trouble dans l’espace déjà entouré d’une stabilité et d’une paix sociale’, souligne Lamine Fall, par ailleurs secrétaire général adjoint de la Cnts.
Consommée sous différente forme, la tomate (filière) faisant vivre tout un environnement de paysans utilise une main-d’œuvre considérable. Toutefois, cette main-d’œuvre risque d’après les syndicalistes de s’envoler si une loyauté n’est pas apportée à la concurrence dans ce milieu. ‘L’Agroline, qui importe huit mille tonnes de triple concentré de la Chine, fait perdre aux paysans 48 mille tonnes de tomates fraîches. Cette importation du triple concentré de tomate fausse les enjeux et cause un impact négatif sur le plan social et ensuite elle diminue considérablement la culture dans la vallée’. Par conséquent, cette importation conduit la Socas à devoir baisser sa production et par ricochet ses emplois, évalués à 500 en plus des 1 500 paysans dans les départements de Dagana et Podor. Selon le secrétaire général du Syndicat, ces pertes d’emploi vont inexorablement déteindre et de manière très négative sur la situation sociale des travailleurs de la Socas et des paysans de la vallée. Ainsi, risquent de survenir des licenciements sur les emplois directs et indirects estimés à 20 mille.
Se basant sur l’importation, les charges de l’Agroline, disent-ils, sont de loin moindres que celles de la Socas. ‘Cette concurrence déloyale détruit à petit feu la Socas, parce que n’ayant pas les mêmes charges que ses concurrents. Les charges sociales de la Socas sont de loin supérieures à celles d’Agroline qui est une unité de moindre calibre qui n’emploie presque pas de travailleurs’. S’indignant de leur mutisme, Lamine Fall a lancé un appel à une réaction urgente des autorités.
Consommée sous différente forme, la tomate (filière) faisant vivre tout un environnement de paysans utilise une main-d’œuvre considérable. Toutefois, cette main-d’œuvre risque d’après les syndicalistes de s’envoler si une loyauté n’est pas apportée à la concurrence dans ce milieu. ‘L’Agroline, qui importe huit mille tonnes de triple concentré de la Chine, fait perdre aux paysans 48 mille tonnes de tomates fraîches. Cette importation du triple concentré de tomate fausse les enjeux et cause un impact négatif sur le plan social et ensuite elle diminue considérablement la culture dans la vallée’. Par conséquent, cette importation conduit la Socas à devoir baisser sa production et par ricochet ses emplois, évalués à 500 en plus des 1 500 paysans dans les départements de Dagana et Podor. Selon le secrétaire général du Syndicat, ces pertes d’emploi vont inexorablement déteindre et de manière très négative sur la situation sociale des travailleurs de la Socas et des paysans de la vallée. Ainsi, risquent de survenir des licenciements sur les emplois directs et indirects estimés à 20 mille.
Se basant sur l’importation, les charges de l’Agroline, disent-ils, sont de loin moindres que celles de la Socas. ‘Cette concurrence déloyale détruit à petit feu la Socas, parce que n’ayant pas les mêmes charges que ses concurrents. Les charges sociales de la Socas sont de loin supérieures à celles d’Agroline qui est une unité de moindre calibre qui n’emploie presque pas de travailleurs’. S’indignant de leur mutisme, Lamine Fall a lancé un appel à une réaction urgente des autorités.