Lala Kamara, 26 ans, a été retrouvée morte samedi dernier dans son appartement à Manchester en Angleterre. Etudiante en médecine, elle devait commencer son nouveau travail d’infirmière le lundi 11 mars 2019
Lala, tuée la veille de son premier emploi
Lala Kamara devait commencer, dès lundi, son nouveau travail d’infirmière. Elle avait annoncé à son père et ses deux frères, la bonne nouvelle. Malheureusement, elle n’exercera jamais sa vocation d’infirmière. Lala Kamara sera tuée samedi soir dans sa maison de Manchester où elle vivait depuis trois ans. Les deux présumés tueurs, deux Sénégalais, 21 et 25 ans, sont pour le moment en garde à vue. Les mis en cause ont été auditionnés par la police Britannique.
Selon les premiers éléments de l’enquête, ils se trouvaient dans l’appartement de Denton Court lorsque Lala Kamara a été tuée. « Nous ferons tout en notre pouvoir pour donner aux parents et aux amis toutes les réponses qu’ils méritent », a déclaré l’inspecteur de police du Grand Manchester, Dan Clegg. Le meurtre de Lala a eu lieu vingt-quatre heures après son dernier appel téléphonique avec ses proches. « J’ai parlé au téléphone avec ma fille vendredi soir, elle était très heureuse d’avoir réussi le concours à l’hôpital », a déclaré son père à la Giornale di Brescia, sous le choc.
Sa vie, de Brescia en Angleterre !
La découverte macabre a été faite par un ami de Lala. Entre temps, la communauté sénégalaise de Brescia a exprimé son chagrin sur Facebook et s’est réunie hier après-midi pour prier au Ponte San Marco, un hameau de Calcinato, où vivent la mère et les deux frères âgés de 5 et 27 ans de la jeune fille assassinée. Lala Kamara, 26 ans, de nationalité italienne, est née au Sénégal et a grandi à Brescia, plus précisément à Calcinato, dans l’arrière-pays de la Garde où vit toujours sa famille.
Lala a fréquenté le lycée à Desenzano et s’était ensuite installée en Angleterre. D’abord à Londres, puis dans le nord du pays pour y poursuivre ses études. Lala travaillait comme baby-sitter dans le sud de Londres. «Elle a ensuite déménagé à Manchester où elle travaillait chez Mc Donald’s depuis un moment», témoigne le père au journal.
Lala, tuée la veille de son premier emploi
Lala Kamara devait commencer, dès lundi, son nouveau travail d’infirmière. Elle avait annoncé à son père et ses deux frères, la bonne nouvelle. Malheureusement, elle n’exercera jamais sa vocation d’infirmière. Lala Kamara sera tuée samedi soir dans sa maison de Manchester où elle vivait depuis trois ans. Les deux présumés tueurs, deux Sénégalais, 21 et 25 ans, sont pour le moment en garde à vue. Les mis en cause ont été auditionnés par la police Britannique.
Selon les premiers éléments de l’enquête, ils se trouvaient dans l’appartement de Denton Court lorsque Lala Kamara a été tuée. « Nous ferons tout en notre pouvoir pour donner aux parents et aux amis toutes les réponses qu’ils méritent », a déclaré l’inspecteur de police du Grand Manchester, Dan Clegg. Le meurtre de Lala a eu lieu vingt-quatre heures après son dernier appel téléphonique avec ses proches. « J’ai parlé au téléphone avec ma fille vendredi soir, elle était très heureuse d’avoir réussi le concours à l’hôpital », a déclaré son père à la Giornale di Brescia, sous le choc.
Sa vie, de Brescia en Angleterre !
La découverte macabre a été faite par un ami de Lala. Entre temps, la communauté sénégalaise de Brescia a exprimé son chagrin sur Facebook et s’est réunie hier après-midi pour prier au Ponte San Marco, un hameau de Calcinato, où vivent la mère et les deux frères âgés de 5 et 27 ans de la jeune fille assassinée. Lala Kamara, 26 ans, de nationalité italienne, est née au Sénégal et a grandi à Brescia, plus précisément à Calcinato, dans l’arrière-pays de la Garde où vit toujours sa famille.
Lala a fréquenté le lycée à Desenzano et s’était ensuite installée en Angleterre. D’abord à Londres, puis dans le nord du pays pour y poursuivre ses études. Lala travaillait comme baby-sitter dans le sud de Londres. «Elle a ensuite déménagé à Manchester où elle travaillait chez Mc Donald’s depuis un moment», témoigne le père au journal.