‘‘La vitesse de l’information est aujourd’hui multipliée par les sites d’informations.’’ Cette remarque est de Ibrahima Khaliloulah Ndiaye qui estime également, qu’aujourd’hui, ‘‘on ne peut pas se refuser à la réalité des sites web d’informations’’. En ce sens, M. Ndiaye reconnaît évidemment les nombreuses dérives qui s’y passent et qui affectent sérieusement la bonne évolution de ces supports. ‘‘Les sites sont nombreux et ils n’ont pas bonne presse, il y a des dérapages et c’est normal, parce qu’il n’y a pas de législation.’’
Raison pour laquelle le Secrétaire général qui signale qu’il y a un vide juridique révèle que le Synpics, pour sa part, a demandé que la question soit incluse dans le code de la presse pour une réglementation. ‘‘Rares sont les sites qui sont structurés ou qui ont une rédaction autonome.’’ D’où le problème de la propriété intellectuelle, mais aussi de la malhonnêteté intellectuelle qu’il pose. ‘‘Ils ne produisent pas, reprennent les articles des journaux sans pour autant les citer dans la plupart du temps. Et pis, ils influent sur la vente de ceux-ci. Car, s’ils attendent que la revue de presse soit faite pour reprendre les informations des quotidiens, les lecteurs ne vont pas acheter.’’
Précisant tout de même que le Synpics n’est pas insensible à la situation de la presse en ligne, malgré tous leurs manquements, M. Ndiaye les appelle à être autonomes. ‘’Puisqu’ils captent de la publicité, ils devraient être plus sérieux et offrir les garanties d’emplois salariés.’’Ce, même si, reconnaît-il, ‘‘le marché de la publicité est étroit. Même les journaux traditionnels vivent la même situation’’.
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Raison pour laquelle le Secrétaire général qui signale qu’il y a un vide juridique révèle que le Synpics, pour sa part, a demandé que la question soit incluse dans le code de la presse pour une réglementation. ‘‘Rares sont les sites qui sont structurés ou qui ont une rédaction autonome.’’ D’où le problème de la propriété intellectuelle, mais aussi de la malhonnêteté intellectuelle qu’il pose. ‘‘Ils ne produisent pas, reprennent les articles des journaux sans pour autant les citer dans la plupart du temps. Et pis, ils influent sur la vente de ceux-ci. Car, s’ils attendent que la revue de presse soit faite pour reprendre les informations des quotidiens, les lecteurs ne vont pas acheter.’’
Précisant tout de même que le Synpics n’est pas insensible à la situation de la presse en ligne, malgré tous leurs manquements, M. Ndiaye les appelle à être autonomes. ‘’Puisqu’ils captent de la publicité, ils devraient être plus sérieux et offrir les garanties d’emplois salariés.’’Ce, même si, reconnaît-il, ‘‘le marché de la publicité est étroit. Même les journaux traditionnels vivent la même situation’’.
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