Le sous-préfet de l’arrondissement de RAO a présidé, ce matin, la célébration de la journée internationale pour la conservation de l’écosystème des mangroves à Mbambara (Commune de Ndièbène Gandiol). Plusieurs actions citoyennes dont des reboisements de palétuviers et des échanges sur l’écologie ont rythmé cette activité organisée par le projet de promotion d'une finance novatrice et d'adaptation communautaire autour des réserves naturelles communautaires ( PFNAC) en collaboration avec la direction des Parcs Nationaux.
L’importance de cet écosystème a été magnifiée par les parties prenantes à cette journée. Cette niche écologique « favorable au développe d’espèces (huitres, poissons) est bénéfique pour l’activité économique des populations particulièrement des femmes », a rappelé M. SY. Il a souligné la pertinence du choix de Mbambara d’abriter cette mobilisation à laquelle plusieurs structures de jeunesse établies à Saint-Louis, ont pris part. « À quelques se trouve le village de Doune Baba Dièye englouti par les eaux sous l’effet de l’érosion », a-t-il ajouté.
Le commandant Abdoulaye NIANG, assistant technique du PNAF a souligné l’apport considérable du combat pour la protection de la mangrove sur la protection de la biodiversité et sur le développement de l’économie locale. « Elle joue un rôle important dans l’adaptation aux changements climatiques, la séquestration de carbone et la lutte contre érosion côtière », note le commandant Mamadou SIDIBÉ, Chef de division aux Parcs Nationaux. « La mangrove permet à d’autres vies d’exister », a–t-il expliqué. « C’est l’espèce magique du développement économique des peuples côtiers », a-t-il conclu.
L’importance de cet écosystème a été magnifiée par les parties prenantes à cette journée. Cette niche écologique « favorable au développe d’espèces (huitres, poissons) est bénéfique pour l’activité économique des populations particulièrement des femmes », a rappelé M. SY. Il a souligné la pertinence du choix de Mbambara d’abriter cette mobilisation à laquelle plusieurs structures de jeunesse établies à Saint-Louis, ont pris part. « À quelques se trouve le village de Doune Baba Dièye englouti par les eaux sous l’effet de l’érosion », a-t-il ajouté.
Le commandant Abdoulaye NIANG, assistant technique du PNAF a souligné l’apport considérable du combat pour la protection de la mangrove sur la protection de la biodiversité et sur le développement de l’économie locale. « Elle joue un rôle important dans l’adaptation aux changements climatiques, la séquestration de carbone et la lutte contre érosion côtière », note le commandant Mamadou SIDIBÉ, Chef de division aux Parcs Nationaux. « La mangrove permet à d’autres vies d’exister », a–t-il expliqué. « C’est l’espèce magique du développement économique des peuples côtiers », a-t-il conclu.