Photo d'illustration
L’étau se resserre autour de la lycéenne Henriette Sambou, présumée meurtrière du professeur Henri Ndiaye. Ce dernier a été mortellement poignardé par la jeune fille en classe de Terminale au Lycée Nelson Mandela de Diourbel à qui il dispensait des particuliers.
La lycéenne est placée présentement sous le régime de la garde à vue à la Brigade de la gendarmerie de Ndoulo (Diourbel). Elle va faire face aux éléments en charge de l’enquête pour expliquer les raisons pour lesquelles elle aurait commis cet acte. La thèse de coups et blessures volontaires ayant entrainé la mort sans avoir l’intention de la donner pourrait être retenue contre la jeune demoiselle qui risque de rater son examen de baccalauréat.
Selon des témoignages de proches de la jeune fille, Henri Ndiaye faisait des avances à Henriette Sambou. Ce qu’elle n’appréciait pas. Et elle a fini par lui donner un coup de poignard à la jambe, qui lui a été fatal.
EMEDIA
La lycéenne est placée présentement sous le régime de la garde à vue à la Brigade de la gendarmerie de Ndoulo (Diourbel). Elle va faire face aux éléments en charge de l’enquête pour expliquer les raisons pour lesquelles elle aurait commis cet acte. La thèse de coups et blessures volontaires ayant entrainé la mort sans avoir l’intention de la donner pourrait être retenue contre la jeune demoiselle qui risque de rater son examen de baccalauréat.
Selon des témoignages de proches de la jeune fille, Henri Ndiaye faisait des avances à Henriette Sambou. Ce qu’elle n’appréciait pas. Et elle a fini par lui donner un coup de poignard à la jambe, qui lui a été fatal.
EMEDIA