La Gendarmerie a annoncé la mise en place de mesures qui ont permis de "réaliser des statistiques record" en 2016 en matière de saisie de drogue.
"Les unités de la Gendarmerie ont saisi aux cours des six derniers mois plus de 5 tonnes 216 kilogrammes de résine de cannabis, 1.5 kilogrammes de cocaïne, 1 kilogramme d’héroïne, 6 kilogrammes d’amphétamines et diverses autres drogues comme le Khat et la Roche", selon un communiqué reçu à l’APS.
La même source souligne que la création d’un Groupe spécial de lutte antidrogue au début de l’année 2016 est un des volets du plan d’action de la Gendarmerie nationale pour la répression du trafic illicite de drogues.
Cette unité spéciale "augmente considérablement les capacités d’acquisition et d’analyse du renseignement, mais aussi de dilution et d’infiltration des gendarmes dans les milieux à risque, à travers des capteurs d’un type nouveau, formés avec l’appui des partenaires des Etats-Unis d’Amérique", selon la Division communication de la gendarmerie.
Cette structure rappelle qu’en 2014 déjà, la gendarmerie "avait fini d’intégrer la troisième dimension en se dotant d’une flotte d’avions d’observation et de surveillance de type Ultra Léger Motorisé".
"Ces appareils, très souples d’utilisation, sont capables de décoller sur un cours préavis et de prendre en filature n’importe quelle cible signalée puis de maintenir le contact avec elle jusqu’à sa prise en contact par une équipe terrestre", explique t-on.
La même source ajoute que ce dispositif "est complété par trois brigades de scanners mobiles de haute performance, acquises par la volonté des plus hautes autorités de l’Etat".
Selon la gendarmerie, "l’outil majeur de ces moyens de contrôle modernes est le camion scanner M.E. CARGO VISION HCVM 35, conçu pour inspecter les tous types de véhicules, camions et containers".
Cet outil "fournit une image radioscopique haute définition des véhicules inspectés, aidant à détecter tous produits ou matériaux suspects" et l’image déportée "est analysée sur les écrans des opérateurs installés dans un vanne pouvant se situer jusqu’à 100 mètre de rayon".
"Ces unités adossées à des bases de vies autonomes, pouvant abriter jusqu’à 100 personnels avec toutes les commodités nécessaires à l’exécution de leurs missions, sont susceptibles d’être déployées partout sur le territoire national", informe la division communication.
Elle souligne que ces nouveaux équipements "viennent enrichir les moyens classiques de lutte, constitués de chiens de détection spécialisés, des techniciens en Identification criminelle et des agents de renseignement".
La Gendarmerie invite les populations à "dénoncer aux forces de sécurité toutes activités liées au commerce illicite de stupéfiants et au blanchiment des capitaux issus de ce trafic".
Le communiqué rappelle que le plan d’action de la Gendarmerie nationale pour la répression du trafic illicite de drogues "s’inscrit dans le cadre de la stratégie nationale de lutte contre les stupéfiants dont l’objectif principal est de diminuer l’offre et la demande de drogues illicites".
Cette stratégie met l’accent "sur les mesures visant à décourager la consommation de drogues et par conséquent toutes activités de trafic illicite".
Ce plan d’action "vise aujourd’hui à consolider la posture proactive de la Gendarmerie par le renforcement des capacités opérationnelles, aussi bien dans l’anticipation que dans l’intervention".
"Parallèlement les capacités et les moyens d’action des unités judiciaires ont été largement renforcés dans la conduite des enquêtes et la dissuasion des contrevenants", ajoute t-on.
APS
"Les unités de la Gendarmerie ont saisi aux cours des six derniers mois plus de 5 tonnes 216 kilogrammes de résine de cannabis, 1.5 kilogrammes de cocaïne, 1 kilogramme d’héroïne, 6 kilogrammes d’amphétamines et diverses autres drogues comme le Khat et la Roche", selon un communiqué reçu à l’APS.
La même source souligne que la création d’un Groupe spécial de lutte antidrogue au début de l’année 2016 est un des volets du plan d’action de la Gendarmerie nationale pour la répression du trafic illicite de drogues.
Cette unité spéciale "augmente considérablement les capacités d’acquisition et d’analyse du renseignement, mais aussi de dilution et d’infiltration des gendarmes dans les milieux à risque, à travers des capteurs d’un type nouveau, formés avec l’appui des partenaires des Etats-Unis d’Amérique", selon la Division communication de la gendarmerie.
Cette structure rappelle qu’en 2014 déjà, la gendarmerie "avait fini d’intégrer la troisième dimension en se dotant d’une flotte d’avions d’observation et de surveillance de type Ultra Léger Motorisé".
"Ces appareils, très souples d’utilisation, sont capables de décoller sur un cours préavis et de prendre en filature n’importe quelle cible signalée puis de maintenir le contact avec elle jusqu’à sa prise en contact par une équipe terrestre", explique t-on.
La même source ajoute que ce dispositif "est complété par trois brigades de scanners mobiles de haute performance, acquises par la volonté des plus hautes autorités de l’Etat".
Selon la gendarmerie, "l’outil majeur de ces moyens de contrôle modernes est le camion scanner M.E. CARGO VISION HCVM 35, conçu pour inspecter les tous types de véhicules, camions et containers".
Cet outil "fournit une image radioscopique haute définition des véhicules inspectés, aidant à détecter tous produits ou matériaux suspects" et l’image déportée "est analysée sur les écrans des opérateurs installés dans un vanne pouvant se situer jusqu’à 100 mètre de rayon".
"Ces unités adossées à des bases de vies autonomes, pouvant abriter jusqu’à 100 personnels avec toutes les commodités nécessaires à l’exécution de leurs missions, sont susceptibles d’être déployées partout sur le territoire national", informe la division communication.
Elle souligne que ces nouveaux équipements "viennent enrichir les moyens classiques de lutte, constitués de chiens de détection spécialisés, des techniciens en Identification criminelle et des agents de renseignement".
La Gendarmerie invite les populations à "dénoncer aux forces de sécurité toutes activités liées au commerce illicite de stupéfiants et au blanchiment des capitaux issus de ce trafic".
Le communiqué rappelle que le plan d’action de la Gendarmerie nationale pour la répression du trafic illicite de drogues "s’inscrit dans le cadre de la stratégie nationale de lutte contre les stupéfiants dont l’objectif principal est de diminuer l’offre et la demande de drogues illicites".
Cette stratégie met l’accent "sur les mesures visant à décourager la consommation de drogues et par conséquent toutes activités de trafic illicite".
Ce plan d’action "vise aujourd’hui à consolider la posture proactive de la Gendarmerie par le renforcement des capacités opérationnelles, aussi bien dans l’anticipation que dans l’intervention".
"Parallèlement les capacités et les moyens d’action des unités judiciaires ont été largement renforcés dans la conduite des enquêtes et la dissuasion des contrevenants", ajoute t-on.
APS