Un séminaire régional sur les outils d’accompagnement de la gestion et de la sécurisation du foncier dans les territoires ruraux d’Afrique et du Centre, organisé par la SAED et l’Agence Française de Développement (AFD) du 3 au 6juin derniers au King Fahd Palace sous l’égide du Ministère de l’Agriculture et de l’Equipement Rural, a rassemblé quelques 120 participants venant du Bénin, du Burkina Faso, du Cameroun, de la Guinée, du Mali, de la Mauritanie, du Niger et du Sénégal
Le préambule d’un document dit « Déclaration de Dakar » note plus loin, que les participants ont souligné l’impératif de faire de la politique foncière, un moyen institutionnel déclencheur du développement durable des territoires ruraux en Afrique de l’Ouest et du Centre, développement créateur de richesses, d’emplois, de nourriture et de biens de consommations. Le document poursuit que la sécurisation de l’occupation des terres et de la mise en valeur dans les zones agricoles et pastorales est une condition nécessaire à l’accroissement des productions agricoles et alimentaires. Aussi les Etats doivent pouvoir surmonter les obstacles et les blocages qui, auniveau foncier, sont susceptibles de compromettre la modernisation de l’agriculture familiale et les gains de productivité.
La « Déclaration de Dakar » identifie 4 défis à relever et une dizaine de recommandations pour une instauration de politiques foncières définies ou revisitées de façon inclusive, et posant des cadres de régulation aptes à préserver les droits des communautés autochtones, à assurer une sécurisation foncière des exploitations familiales et des investisseurs, mais également, à éviter des acquisitions massives de terres agricoles par les investisseurs nationaux ou étrangers.
Il faut noter qu’au cours de ce séminaire sous régional, les outils développés par la SAED (POAS, CDI et SIF) ainsi que les expériences mis en œuvre dans la Vallée du Fleuve Sénégal, ont servi de support à l’issue de leur présentation pour permettre aux participants répartis en 3 ateliers de se penser sur cette question foncière.
Samba Kanté qui auparavant avait reçu « la Déclaration de Douala » des mais de Mme NGA a remis celle Dakar aux différents chefs de délégations des pays participants à ce séminaire.
Madine NDAO (Dakar)
Le préambule d’un document dit « Déclaration de Dakar » note plus loin, que les participants ont souligné l’impératif de faire de la politique foncière, un moyen institutionnel déclencheur du développement durable des territoires ruraux en Afrique de l’Ouest et du Centre, développement créateur de richesses, d’emplois, de nourriture et de biens de consommations. Le document poursuit que la sécurisation de l’occupation des terres et de la mise en valeur dans les zones agricoles et pastorales est une condition nécessaire à l’accroissement des productions agricoles et alimentaires. Aussi les Etats doivent pouvoir surmonter les obstacles et les blocages qui, auniveau foncier, sont susceptibles de compromettre la modernisation de l’agriculture familiale et les gains de productivité.
La « Déclaration de Dakar » identifie 4 défis à relever et une dizaine de recommandations pour une instauration de politiques foncières définies ou revisitées de façon inclusive, et posant des cadres de régulation aptes à préserver les droits des communautés autochtones, à assurer une sécurisation foncière des exploitations familiales et des investisseurs, mais également, à éviter des acquisitions massives de terres agricoles par les investisseurs nationaux ou étrangers.
Il faut noter qu’au cours de ce séminaire sous régional, les outils développés par la SAED (POAS, CDI et SIF) ainsi que les expériences mis en œuvre dans la Vallée du Fleuve Sénégal, ont servi de support à l’issue de leur présentation pour permettre aux participants répartis en 3 ateliers de se penser sur cette question foncière.
Samba Kanté qui auparavant avait reçu « la Déclaration de Douala » des mais de Mme NGA a remis celle Dakar aux différents chefs de délégations des pays participants à ce séminaire.
Madine NDAO (Dakar)