La directrice générale du Fonds monétaire international (FMI), Kristalina Georgieva, a demandé lundi aux dirigeants africains de compter sur eux-mêmes d’abord avant de solliciter l’aide étrangère.
"Il faut compter sur vous-mêmes avant de compter sur les autres", a-t-elle déclaré à Diamniadio, à une trentaine de kilomètres de Dakar, à l’occasion d’une conférence internationale portant sur "Développement durable et la dette soutenable : le juste équilibre", à laquelle participent plusieurs chefs d’Etat africains.
Outre Macky Sall, ses homologues Patrice Talon (Bénin), Roch Marc Christian Kaboré (Burkina Faso), Alassane Outtara (Côte d’Ivoire), Mouhamadou Issoufou (Niger) participent à cette rencontre.
De même le président togolais Faure Gnassigbé était présent à cette rencontre organisée par les Nations unies et le Cercle des économistes.
Kristalina Georgieva a aussi demandé aux pays africains de gérer leur dette de manière "rigoureuse" et de veiller à sa transparence.
"Il faut que la gestion de la dette soit rigoureuse. La transparence de la dette est la meilleure amie des populations", a-t-elle dit, estimant que la dette doit être "efficiente", pour permettre aux populations de "sentir les effets de la croissance".
Le FMI est prêt à octroyer davantage de financements aux Etats africains, avec des "taux concessionnels de zéro pour cent", a par ailleurs assuré sa directrice générale, exhortant les pays africains à "veiller à l’accroissement de leurs recettes fiscales et à avoir des dépenses efficientes.
"Nous devons accroître les investissements et les dépenses sociales. Il nous faut davantage d’énergie pour atteindre l’objectif du développement", a indiqué Kristalina Georgieva.
APS
"Il faut compter sur vous-mêmes avant de compter sur les autres", a-t-elle déclaré à Diamniadio, à une trentaine de kilomètres de Dakar, à l’occasion d’une conférence internationale portant sur "Développement durable et la dette soutenable : le juste équilibre", à laquelle participent plusieurs chefs d’Etat africains.
Outre Macky Sall, ses homologues Patrice Talon (Bénin), Roch Marc Christian Kaboré (Burkina Faso), Alassane Outtara (Côte d’Ivoire), Mouhamadou Issoufou (Niger) participent à cette rencontre.
De même le président togolais Faure Gnassigbé était présent à cette rencontre organisée par les Nations unies et le Cercle des économistes.
Kristalina Georgieva a aussi demandé aux pays africains de gérer leur dette de manière "rigoureuse" et de veiller à sa transparence.
"Il faut que la gestion de la dette soit rigoureuse. La transparence de la dette est la meilleure amie des populations", a-t-elle dit, estimant que la dette doit être "efficiente", pour permettre aux populations de "sentir les effets de la croissance".
Le FMI est prêt à octroyer davantage de financements aux Etats africains, avec des "taux concessionnels de zéro pour cent", a par ailleurs assuré sa directrice générale, exhortant les pays africains à "veiller à l’accroissement de leurs recettes fiscales et à avoir des dépenses efficientes.
"Nous devons accroître les investissements et les dépenses sociales. Il nous faut davantage d’énergie pour atteindre l’objectif du développement", a indiqué Kristalina Georgieva.
APS