Le projectile était "un nouveau modèle de missile balistique stratégique de moyenne à longue distance, le Hwasong-12", a affirmé KCNA, l'agence de presse nord-coréenne, en précisant que Kim Jong-Un avait "personnellement supervisé ce test".
"Puissante tête nucléaire"
Ce tir avait pour but d'examiner "les caractéristiques" d'un nouveau type de missile, "capable de transporter une grande et puissante tête nucléaire", a précisé KCNA, selon laquelle le projectile aurait suivi sa trajectoire prévue, pour atteindre une altitude de 2.111 km, avant de retomber à 787 km de son point de départ après 30 minutes de vol, "précisément à l'endroit prévu".
Proche des côtes russes
Il a fini sa course en mer du Japon, entre la Corée du Nord et le territoire nippon mais à un endroit plus proche de la Russie que les tests précédemment effectués, selon les autorités américaines. Une source américaine anonyme, reprise par l'agence Reuters et CNN, entre autres, affirme que, selon les premières constatations, le missile est retombé à moins de 100km des côtes russes, plus précisément à 97 km environ au sud de la région de Vladivostok. Le ministère russe de la Défense avait pourtant précédemment tenu à souligner que, selon Moscou, le tir n'avait représenté "aucun danger" pour le pays.
"Aucune excuse"
Le test a en tout cas fait rugir Washington, l'ambassadrice américaine à l'ONU Nikki Haley affirmant qu'"aucune excuse" ne vaut pour les agissements de Pyongyang. Les Etats-Unis ont immédiatement brandi le spectre de nouvelles sanctions, alors que Russie et Chine adoptaient une attitude moins alarmiste.
"Retenue"
Les présidents russe Vladimir Poutine et chinois Xi Jinping, qui a appelé à "faire preuve de retenue", ont évoqué le dossier dimanche à Pékin, et ont malgré tout reconnu être "préoccupés devant l'escalade des tensions", selon le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov.
7sur7.be
"Puissante tête nucléaire"
Ce tir avait pour but d'examiner "les caractéristiques" d'un nouveau type de missile, "capable de transporter une grande et puissante tête nucléaire", a précisé KCNA, selon laquelle le projectile aurait suivi sa trajectoire prévue, pour atteindre une altitude de 2.111 km, avant de retomber à 787 km de son point de départ après 30 minutes de vol, "précisément à l'endroit prévu".
Proche des côtes russes
Il a fini sa course en mer du Japon, entre la Corée du Nord et le territoire nippon mais à un endroit plus proche de la Russie que les tests précédemment effectués, selon les autorités américaines. Une source américaine anonyme, reprise par l'agence Reuters et CNN, entre autres, affirme que, selon les premières constatations, le missile est retombé à moins de 100km des côtes russes, plus précisément à 97 km environ au sud de la région de Vladivostok. Le ministère russe de la Défense avait pourtant précédemment tenu à souligner que, selon Moscou, le tir n'avait représenté "aucun danger" pour le pays.
"Aucune excuse"
Le test a en tout cas fait rugir Washington, l'ambassadrice américaine à l'ONU Nikki Haley affirmant qu'"aucune excuse" ne vaut pour les agissements de Pyongyang. Les Etats-Unis ont immédiatement brandi le spectre de nouvelles sanctions, alors que Russie et Chine adoptaient une attitude moins alarmiste.
"Retenue"
Les présidents russe Vladimir Poutine et chinois Xi Jinping, qui a appelé à "faire preuve de retenue", ont évoqué le dossier dimanche à Pékin, et ont malgré tout reconnu être "préoccupés devant l'escalade des tensions", selon le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov.
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