Des policiers et responsables de maisons d’accueil bénéficient de sessions de formation sur les modes d’expressions de la traite des enfants, sur la législation anti-traite et les défis de son application.
Cette activité organisée par le Projet Adressing Children’s Basic Rights in Senegal (Abris), permet aux forces de sécurité de s’imprégner sur les techniques d’investigation en matière de lutte contre cette forme de violence infligée à des âmes innocentes.
« La police constitue un maillon essentiel dans le dispositif de référencement », a rappelé Fatou Dramé CISSE, la coordonnatrice du projet, en insistant sur l’importance de la maitrise de « l’orientation des enfants vers des structures de prise en charge en fonction de leur vulnérabilité ».
Cet atelier permet aux éléments du Commissariat central de SOR, de l’ile et du Poste de Ross-Béthio de se familiariser avec le coordonnateur de la maison de la Maison de la Gare et la directrice de la Liane pour créer une dynamique d’action commune en vue de faire face à ce fléau.
« Ils ne peuvent pas continuer de travailler en vase clos. Ils doivent connaître les autres acteurs qui interviennent dans la chaine de la prise en charge et les services qu’ils offrent », a expliqué Mme CISSE.
La coordonnatrice du Projet ABRIS a, par ailleurs, regretté la non-effectivité du décret présidentiel sur la mendicité qui encourage davantage une poussée vertigineuse de l’exploitation des enfants.
> Suivez les explications de Fatou Dramé CISSE
Cette activité organisée par le Projet Adressing Children’s Basic Rights in Senegal (Abris), permet aux forces de sécurité de s’imprégner sur les techniques d’investigation en matière de lutte contre cette forme de violence infligée à des âmes innocentes.
« La police constitue un maillon essentiel dans le dispositif de référencement », a rappelé Fatou Dramé CISSE, la coordonnatrice du projet, en insistant sur l’importance de la maitrise de « l’orientation des enfants vers des structures de prise en charge en fonction de leur vulnérabilité ».
Cet atelier permet aux éléments du Commissariat central de SOR, de l’ile et du Poste de Ross-Béthio de se familiariser avec le coordonnateur de la maison de la Maison de la Gare et la directrice de la Liane pour créer une dynamique d’action commune en vue de faire face à ce fléau.
« Ils ne peuvent pas continuer de travailler en vase clos. Ils doivent connaître les autres acteurs qui interviennent dans la chaine de la prise en charge et les services qu’ils offrent », a expliqué Mme CISSE.
La coordonnatrice du Projet ABRIS a, par ailleurs, regretté la non-effectivité du décret présidentiel sur la mendicité qui encourage davantage une poussée vertigineuse de l’exploitation des enfants.
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