« La mesure de déguerpissement vient l’adjointe au maire et non de l’édile. Mansour FAYE ne nous a jamais fait part de cette mesure », soutient Modou THIAM, le président du collectif, indiquant que plus de 80 familles logent dans ces habitations.
« Elle ne cesse de faire de descente ici pour nous intimider et nous sommer de quitter les lieux. Nous voulons qu’elle nous laisse tranquille », ajoute M. THAM. D’après le président du collectif, c’est le gestionnaire du site qui avait donné l’autorisation à certaines familles frappées par les inondations d’occuper les maisons. « Aujourd’hui, on peut retrouver trois familles au sein d’un seul logement », explique le président, en précisant que toutes les habitations ont été occupées.
« Nous avons dépensé des centaines de francs ici. J’ai moi-même installé un réseau électrique solaire qui m’a couté très cher. À notre arrivée, certaines installations ont été vandalisées, nous les avons remplacées par nos propres moyens. Nous avons contribué à la sécurisation du lieu », crie El Hadji GUEYE, résident de ce projet. “ Nous ne sommes pas des imposteurs. Nous n’accepterons plus qu’on ternisse notre image. Nous sommes d'honnêtes travailleurs et des gens dignes », a signalé M. GUEYE.
Interrogée sur la sortie du collectif, l’adjointe au maire Aida Mbaye DIENG dénonce « une occupation illégale » du site en indiquant le Procureur de la République s’est désormais saisi de l’affaire. En a croire Mme Le Maire, la sommation est claire et la Commune ne reculera pas dans sa décision d’offrir les logements aux vrais ayant-droits.
Elle a réfuté les accusations d’acharnements brandies par le collectif, rappellent que la dernière visite effectuée, en compagnie du maire visait à constater l’état d’avancement du projet de curage des eaux usées, installé aux abords.
NDARINFO.COM
« Elle ne cesse de faire de descente ici pour nous intimider et nous sommer de quitter les lieux. Nous voulons qu’elle nous laisse tranquille », ajoute M. THAM. D’après le président du collectif, c’est le gestionnaire du site qui avait donné l’autorisation à certaines familles frappées par les inondations d’occuper les maisons. « Aujourd’hui, on peut retrouver trois familles au sein d’un seul logement », explique le président, en précisant que toutes les habitations ont été occupées.
« Nous avons dépensé des centaines de francs ici. J’ai moi-même installé un réseau électrique solaire qui m’a couté très cher. À notre arrivée, certaines installations ont été vandalisées, nous les avons remplacées par nos propres moyens. Nous avons contribué à la sécurisation du lieu », crie El Hadji GUEYE, résident de ce projet. “ Nous ne sommes pas des imposteurs. Nous n’accepterons plus qu’on ternisse notre image. Nous sommes d'honnêtes travailleurs et des gens dignes », a signalé M. GUEYE.
Interrogée sur la sortie du collectif, l’adjointe au maire Aida Mbaye DIENG dénonce « une occupation illégale » du site en indiquant le Procureur de la République s’est désormais saisi de l’affaire. En a croire Mme Le Maire, la sommation est claire et la Commune ne reculera pas dans sa décision d’offrir les logements aux vrais ayant-droits.
Elle a réfuté les accusations d’acharnements brandies par le collectif, rappellent que la dernière visite effectuée, en compagnie du maire visait à constater l’état d’avancement du projet de curage des eaux usées, installé aux abords.
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