Ce chef-d’œuvre autobiographie de 202 pages, publié aux Éditions Belin, offre aux lecteurs des promenades inédites dans les couloirs du Sénégal de l’indépendance à nos jours avec un focus spécial sur la gouvernance de Léopold Sédar SENGHOR.
Sortie à Paris, il y a une dizaine de jours, l’auteur a procédé à son lancement officiel à Saint-Louis, sa ville natale, devant un parterre d’écrivains, artistes, autorités coutumières et religieuses.
Le parcours élogieux de VALANTIN force, à bien des égards, la fascination, le respect et l’admiration du jeune public composé d’élèves et d’étudiants, venus en masse s’abreuver aux sources de l’histoire du pays, en marge de la cérémonie de dédicaces à l’Institut français.
Directeur de cabinet à la Présidence de la République, Président de l’assemblé fédéral du Mali, Gouverneur de la région de Thiès, chef de direction de l’Office de la commercialisation agricole, directeur de cabinet du président de la République, Christian VALENTIN au parcours émérite a été également député, rapporteur financiers à l’hémicycle, président de la commission des finances, premier vice-président de l'Assemblée nationale.
> Télécharger la quatrième couverture ici
Né le 13 avril 1929 à Saint-Louis, cet ancien élève du lycée Faidherbe, est un juriste chevronné, titulaire d’un Certificat d’aptitude au métier d’avocat. À l’actif du digne fils de NDAR, une kyrielle de distinctions et décorations pour les bons et loyaux services rendus à la Nation.
Son voyage dans le passé convoque des « techniques propres à la fiction littéraire », « la mise en abime », selon l’écrivain Louis CAMARA. « C’est une autobiographie dans la biographie », explique le conteur d’Ifa sous les salves d’applaudissements d’un public séduit par l’humilité grandeur d’un témoin d’un tournant important de l’histoire du Sénégal.
L’auteur a su insérer donc dans son récit de « fins passages de sa vie ». Un bref retrait subtilement provoqué pour permettre au lecteur de plonger dans ce passé enrichissant.
VALANTIN a un message à délivrer et c’est d’inviter les jeunes à connaitre leur histoire et leur identité. À « s’immerger dans le passé», confie-t-il. « Ils doivent connaitre les raisons pour lesquelles SENGOR a agi, en conformité avec sa pensée », d’homme d’État qu’il était pleinement, même devant la gravité des situations et la lourdeur de certaines décisions à prendre.
« Il était un homme multiple », « aux sangs mêlés exceptionnel » qui avait tracé avec d’autres chantres de renom dont Césaire et Damas, les « chemins de la négritude et de l'ouverture culturelle », témoigne l’écrivain qui insiste sur la nécessité de poursuivre les réformes générationnelles préconisées et entreprises par SENGHOR.
> Un témoignage unique et historique sur Senghor, sa pensée et son action politique, dont voici, en vidéo, les grands axes déclinés par l’auteur lui-même. Regardez !
Sortie à Paris, il y a une dizaine de jours, l’auteur a procédé à son lancement officiel à Saint-Louis, sa ville natale, devant un parterre d’écrivains, artistes, autorités coutumières et religieuses.
Le parcours élogieux de VALANTIN force, à bien des égards, la fascination, le respect et l’admiration du jeune public composé d’élèves et d’étudiants, venus en masse s’abreuver aux sources de l’histoire du pays, en marge de la cérémonie de dédicaces à l’Institut français.
Directeur de cabinet à la Présidence de la République, Président de l’assemblé fédéral du Mali, Gouverneur de la région de Thiès, chef de direction de l’Office de la commercialisation agricole, directeur de cabinet du président de la République, Christian VALENTIN au parcours émérite a été également député, rapporteur financiers à l’hémicycle, président de la commission des finances, premier vice-président de l'Assemblée nationale.
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Né le 13 avril 1929 à Saint-Louis, cet ancien élève du lycée Faidherbe, est un juriste chevronné, titulaire d’un Certificat d’aptitude au métier d’avocat. À l’actif du digne fils de NDAR, une kyrielle de distinctions et décorations pour les bons et loyaux services rendus à la Nation.
Son voyage dans le passé convoque des « techniques propres à la fiction littéraire », « la mise en abime », selon l’écrivain Louis CAMARA. « C’est une autobiographie dans la biographie », explique le conteur d’Ifa sous les salves d’applaudissements d’un public séduit par l’humilité grandeur d’un témoin d’un tournant important de l’histoire du Sénégal.
L’auteur a su insérer donc dans son récit de « fins passages de sa vie ». Un bref retrait subtilement provoqué pour permettre au lecteur de plonger dans ce passé enrichissant.
VALANTIN a un message à délivrer et c’est d’inviter les jeunes à connaitre leur histoire et leur identité. À « s’immerger dans le passé», confie-t-il. « Ils doivent connaitre les raisons pour lesquelles SENGOR a agi, en conformité avec sa pensée », d’homme d’État qu’il était pleinement, même devant la gravité des situations et la lourdeur de certaines décisions à prendre.
« Il était un homme multiple », « aux sangs mêlés exceptionnel » qui avait tracé avec d’autres chantres de renom dont Césaire et Damas, les « chemins de la négritude et de l'ouverture culturelle », témoigne l’écrivain qui insiste sur la nécessité de poursuivre les réformes générationnelles préconisées et entreprises par SENGHOR.
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