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À Keur Boulel, un village proche de Saint-Louis au Sénégal, « l’école est un ballot de paille construit par les parents d’élèves » explique Axel. Avec quatre autres camarades, il a commencé à chercher des financements dès le début d’année scolaire 2014 pour construire une école primaire dans ce village. « Après avoir constitué un dossier en béton, nous avons effectué des actions d’autofinancement et sollicité des subventions publiques et des partenariats », précise Clémence.
Leur plus gros financeur est le ministère des affaires étrangères qui leur a offert 7 000 €. Deux ans plus tard, ils ont pratiquement récolté les 25 000 € nécessaires à la réussite de leur projet, et il ne leur manque plus que 1 500 €. Pour ce faire, ils ont créé une cagnotte de financement participatif sur Internet, grâce à laquelle 735 € sont déjà collectés.
Deux classes et un bureau
Le 8 juin, ils partiront pour un mois sur place afin d’aider à la construction de l’école. Deux salles de classe et un bureau de direction doivent remplacer les murs de paille actuels. « Le but est de faire fonctionner l’économie locale : les entreprises sénégalaises vont travailler sur place, on n’apporte rien de France », souligne Alexandra. Les cinq étudiants vont tout de même participer au chantier, en plus de profiter d’un échange culturel qui leur est cher.
De leur propre chef, ils ont aussi prévu de sensibiliser les enfants du village à l’hygiène, études de médecine oblige… Leurs billets d’avion sont déjà pris depuis novembre et à moins de deux mois de l’échéance, Eulalie l’explique, « c’est le moment ou jamais de se rendre utile au monde avant d’entrer dans la vie active ! ».
Leur plus gros financeur est le ministère des affaires étrangères qui leur a offert 7 000 €. Deux ans plus tard, ils ont pratiquement récolté les 25 000 € nécessaires à la réussite de leur projet, et il ne leur manque plus que 1 500 €. Pour ce faire, ils ont créé une cagnotte de financement participatif sur Internet, grâce à laquelle 735 € sont déjà collectés.
Deux classes et un bureau
Le 8 juin, ils partiront pour un mois sur place afin d’aider à la construction de l’école. Deux salles de classe et un bureau de direction doivent remplacer les murs de paille actuels. « Le but est de faire fonctionner l’économie locale : les entreprises sénégalaises vont travailler sur place, on n’apporte rien de France », souligne Alexandra. Les cinq étudiants vont tout de même participer au chantier, en plus de profiter d’un échange culturel qui leur est cher.
De leur propre chef, ils ont aussi prévu de sensibiliser les enfants du village à l’hygiène, études de médecine oblige… Leurs billets d’avion sont déjà pris depuis novembre et à moins de deux mois de l’échéance, Eulalie l’explique, « c’est le moment ou jamais de se rendre utile au monde avant d’entrer dans la vie active ! ».
