« La mairie ne peut pas avoir de positions sur la brèche ni pour les licences de pêche. La mairie a la volonté, mais n’a pas les moyens de résoudre ces problèmes. Avec Bennon Bokk Yaakaar (BBY), nous aurons la possibilité de prendre le problème et d’aller le défendre devant le président de la République. Quand on a la possibilité de voir le président à tout moment, il faut la saisir, on a plus le choix », soutient Laty FALL, conseiller municipal et membre de cette coalition.
« L’actuelle coalition que dirige Mansour FAYE n’est pas encore maire de Saint-Louis, mais la manière dont elle prend en charge les questions de Guet Ndar, force la satisfaction des pêcheurs. Aujourd’hui, pour régler les problèmes de Guet Ndar, il faut être au cœur du gouvernement », a-t-il déclaré.
« Je suis adjoint au maire depuis 5 ans. IL n’ ya jamais eu une seule une négociation sur la pêche entre autorités mauritaniennes et sénégalaises où la commune a été présente. Aucune étude sur la brèche n’a été faire par la Commune de Saint-Louis. Si aujourd’hui par chance, la première dame est de Saint-Louis et que son frère brigue le suffrage des Saint-Louisiens, mais nous ne demandons pas plus », estime M. FALL.
Pour lui, « c’est une question d’opportunités. Il faut un programme spécial pour Saint-Louis et nos parents de Guet Ndar l’ont compris. Les problèmes de Saint-Louis sont étatiques à plus de 80%. Nous avons intérêt à nous rapprocher de l’État ».
« L’actuelle coalition que dirige Mansour FAYE n’est pas encore maire de Saint-Louis, mais la manière dont elle prend en charge les questions de Guet Ndar, force la satisfaction des pêcheurs. Aujourd’hui, pour régler les problèmes de Guet Ndar, il faut être au cœur du gouvernement », a-t-il déclaré.
« Je suis adjoint au maire depuis 5 ans. IL n’ ya jamais eu une seule une négociation sur la pêche entre autorités mauritaniennes et sénégalaises où la commune a été présente. Aucune étude sur la brèche n’a été faire par la Commune de Saint-Louis. Si aujourd’hui par chance, la première dame est de Saint-Louis et que son frère brigue le suffrage des Saint-Louisiens, mais nous ne demandons pas plus », estime M. FALL.
Pour lui, « c’est une question d’opportunités. Il faut un programme spécial pour Saint-Louis et nos parents de Guet Ndar l’ont compris. Les problèmes de Saint-Louis sont étatiques à plus de 80%. Nous avons intérêt à nous rapprocher de l’État ».