A l'occasion de la journée du technicien de l'élevage, présidée par l'adjoint au gouverneur chargé des affaires administratives, le Dr Pape Sher Diop a annoncé un projet d'établissement important de cette école, portant sur une durée de 25 ans.
C'est dans le cadre de la montée en puissance de cette école, a-t-il précisé, que les responsables de cet établissement de formation envisagent une étroite collaboration avec l'université Gaston Berger, qui pourrait permettre de former des bacheliers non orientés, en vue de les aider à obtenir une licence professionnelle ou un autre diplôme équivalant à "Bac+2".
Parlant de la journée du technicien de l'élevage, Dr Diop a souligné qu'il s'agit d'une tradition. Mais dans un établissement de formation, la tradition et le règlement constituent les deux piliers sur lesquels s'appuie la communauté scolaire et universitaire avec ses trois composantes: le personnel administratif, technique et de service, les apprenants et leurs maîtres.
En effet, a-t-il poursuivi, ces deux éléments constituent le substratum sur lequel pousse le label d'une structure de formation. Ce label est capital car c'est le fondement de la confiance que la société porte sur les parchemins que l'institut délivre: les diplômes.
Cette journée organisée par le foyer de l'école de l'élevage de Saint-Louis, a-t-il rappelé, constitue une occasion pour les enseignants d'estimer le niveau de responsabilité, les capacités d'organisation et le niveau de leadership des apprenants.
Le directeur de cabinet du ministre de l'élevage, Cheikh Tidiane Diop, s'est réjoui de cette journée d'étude dont l'objectif est de mieux organiser le devenir de cet établissement de formation pour la promotion d'un élevage moderne, à travers son encadrement par les ressources humaines qualifiées, essentiel dans la chaîne de développement de notre pays.
M. Diop a réitéré l'engagement du ministre de l'élevage à étudier le projet d'établissement de cette école pour mieux prendre en charge son devenir.
Les ressources humaines sorties de cet établissement, a-t-il enfin précisé, seront recensées et des contacts seront pris avec la Fonction Publique et les autres structures du privé pour rationaliser leur utilisation et donner ainsi un nouveau départ et partant, un espoir dans la réinsertion des diplômés.
Mbagnick Kharachi Diagne
C'est dans le cadre de la montée en puissance de cette école, a-t-il précisé, que les responsables de cet établissement de formation envisagent une étroite collaboration avec l'université Gaston Berger, qui pourrait permettre de former des bacheliers non orientés, en vue de les aider à obtenir une licence professionnelle ou un autre diplôme équivalant à "Bac+2".
Parlant de la journée du technicien de l'élevage, Dr Diop a souligné qu'il s'agit d'une tradition. Mais dans un établissement de formation, la tradition et le règlement constituent les deux piliers sur lesquels s'appuie la communauté scolaire et universitaire avec ses trois composantes: le personnel administratif, technique et de service, les apprenants et leurs maîtres.
En effet, a-t-il poursuivi, ces deux éléments constituent le substratum sur lequel pousse le label d'une structure de formation. Ce label est capital car c'est le fondement de la confiance que la société porte sur les parchemins que l'institut délivre: les diplômes.
Cette journée organisée par le foyer de l'école de l'élevage de Saint-Louis, a-t-il rappelé, constitue une occasion pour les enseignants d'estimer le niveau de responsabilité, les capacités d'organisation et le niveau de leadership des apprenants.
Le directeur de cabinet du ministre de l'élevage, Cheikh Tidiane Diop, s'est réjoui de cette journée d'étude dont l'objectif est de mieux organiser le devenir de cet établissement de formation pour la promotion d'un élevage moderne, à travers son encadrement par les ressources humaines qualifiées, essentiel dans la chaîne de développement de notre pays.
M. Diop a réitéré l'engagement du ministre de l'élevage à étudier le projet d'établissement de cette école pour mieux prendre en charge son devenir.
Les ressources humaines sorties de cet établissement, a-t-il enfin précisé, seront recensées et des contacts seront pris avec la Fonction Publique et les autres structures du privé pour rationaliser leur utilisation et donner ainsi un nouveau départ et partant, un espoir dans la réinsertion des diplômés.
Mbagnick Kharachi Diagne