L’ambassadeur d’Espagne au Sénégal a procédé mercredi à l’inauguration une station pilote d’épuration écologique à l’Université Gaston Berger (UGB) de Saint-Louis, mise en place grâce à l’apport financier de son pays.
« C’est un exemple de la coopération qui lie l’Espagne et le Sénégal », a déclaré SEM Alberto VIRELLA. « La région nord est prioritaire dans notre gramme de coopération espagnole », a ajouté le diplomate qui renseigne que sur la période 2013-2018, plus de 12 milliards de francs CFA ont été injectés à Saint-Louis et Matam.
M. VIRELLA a salué la pertinence de cette expérimentation de cette technique de récupération écologique des eaux usées en indiquant qu’elle permet « d’adapter une technique à l’endroit où elle est destinée ».
En a croire l’adjointe au maire de Saint-Louis Aida Mbaye DIENG, « les collectivités territoriales de la zone sont très attentive au devenir de ce projet ». « Au Sénégal, nous avons de réels problèmes de traitement et d’évacuation des usées », a-t-elle reconnu. « C’est une station dont l’installation coûtera moins cher du fait du transfert de technologies de la part de l’UGB », a ajouté l’élue.
Le professeur Mbissane NGOM a rappelé que la mise sur pied de cet ouvrage entre dans le cadre d’une collaboration entre l’Université Gaston Berger de Saint-Louis et la Fondation Solidarité de l’Université de Barcelone.
« Initiée en 2016, cette convention porte sur la gestion durable des ressources hydriques qui a abouti à la réalisation d’un prototype de station d’épuration écologique », a-t-il. « Son objectif est de promouvoir la recherche de solutions durables dans la gestion des eaux usées et de contribuer à la résolution des problèmes d’assainissement de l’UGB, de la ville de Saint Louis et des zones rurales et périurbaines du Sénégal », a renseigné le professeur NGOM.
« C’est un exemple de la coopération qui lie l’Espagne et le Sénégal », a déclaré SEM Alberto VIRELLA. « La région nord est prioritaire dans notre gramme de coopération espagnole », a ajouté le diplomate qui renseigne que sur la période 2013-2018, plus de 12 milliards de francs CFA ont été injectés à Saint-Louis et Matam.
M. VIRELLA a salué la pertinence de cette expérimentation de cette technique de récupération écologique des eaux usées en indiquant qu’elle permet « d’adapter une technique à l’endroit où elle est destinée ».
En a croire l’adjointe au maire de Saint-Louis Aida Mbaye DIENG, « les collectivités territoriales de la zone sont très attentive au devenir de ce projet ». « Au Sénégal, nous avons de réels problèmes de traitement et d’évacuation des usées », a-t-elle reconnu. « C’est une station dont l’installation coûtera moins cher du fait du transfert de technologies de la part de l’UGB », a ajouté l’élue.
Le professeur Mbissane NGOM a rappelé que la mise sur pied de cet ouvrage entre dans le cadre d’une collaboration entre l’Université Gaston Berger de Saint-Louis et la Fondation Solidarité de l’Université de Barcelone.
« Initiée en 2016, cette convention porte sur la gestion durable des ressources hydriques qui a abouti à la réalisation d’un prototype de station d’épuration écologique », a-t-il. « Son objectif est de promouvoir la recherche de solutions durables dans la gestion des eaux usées et de contribuer à la résolution des problèmes d’assainissement de l’UGB, de la ville de Saint Louis et des zones rurales et périurbaines du Sénégal », a renseigné le professeur NGOM.
NDARINFO.COM