L’Union européenne (UE) a mis en place une ligne budgétaire de 26 milliards de francs Cfa pour financer les projets de gestion côtière au Sénégal, a annoncé vendredi à Saint-Louis (Nord) Nancy Bampouki de la Direction de l’environnement, au ministère sénégalais de l'Environnement et du Développement durable.
"Toutes les collectivités locales qui se trouvent sur le littoral peuvent espérer bénéficier de ce fonds de l’UE", a dit Mme Bampouki au terme d’un atelier de deux jours consacré à l’élaboration de projets de gestion du littoral.
Selon elle, au Sénégal, quatre sites prétendent surtout au financement de l'UE : Dakar, Nianing (Mbour), Saint-Louis et Djogué (Ziguinchor).
Des universitaires, des représentants de collectivités locales, parmi d'autres délégués, ont participé à l'atelier.
Ils ont élaboré des fiches de projet, qui seront présentées aux partenaires financiers afin d'être financées, a expliqué Mme Bampouki, qui s'occupe de gestion des zones côtières à la Direction de l’environnement.
L'atelier a été organisé dans le but d’"arriver à une gestion intégrée du littoral", de mettre fin à son "occupation anarchique", et d'avoir d'"ici à 2030 un littoral beau et propre".
"Le littoral connait beaucoup de dégâts, avec des maisons détruites", a rappelé Nancy Bampouki.
APS
"Toutes les collectivités locales qui se trouvent sur le littoral peuvent espérer bénéficier de ce fonds de l’UE", a dit Mme Bampouki au terme d’un atelier de deux jours consacré à l’élaboration de projets de gestion du littoral.
Selon elle, au Sénégal, quatre sites prétendent surtout au financement de l'UE : Dakar, Nianing (Mbour), Saint-Louis et Djogué (Ziguinchor).
Des universitaires, des représentants de collectivités locales, parmi d'autres délégués, ont participé à l'atelier.
Ils ont élaboré des fiches de projet, qui seront présentées aux partenaires financiers afin d'être financées, a expliqué Mme Bampouki, qui s'occupe de gestion des zones côtières à la Direction de l’environnement.
L'atelier a été organisé dans le but d’"arriver à une gestion intégrée du littoral", de mettre fin à son "occupation anarchique", et d'avoir d'"ici à 2030 un littoral beau et propre".
"Le littoral connait beaucoup de dégâts, avec des maisons détruites", a rappelé Nancy Bampouki.
APS