En instaurant le portail « Ndam Li » en tant que système fiable et efficace, l'Ipress et la caisse de sécurité sociale ont choisi de réduire la souffrance de leurs bénéficiaires. Ces derniers auront finalement la possibilité « d’aller en retraite » s'ils en ont envie.
L’objectif des deux institutions, est de permettre à leurs clients d’aller à la retraite et d’avoir des pensions correctes. Selon le président du conseil d’administration de l’institution de prévoyance retraite du Sénégal ( IPRES), « ce qui se passe au Sénégal est une hérésie ». En effet, dira-t-il « il n’y a que dans ce pays où on retrouve deux caisses distinctes ». C’est d’ailleurs à partir de cette volonté exprimée par le gouvernement de fusionner les deux institutions, que des efforts doivent être menés pour avoir un système commun.
Selon Mamadou Racine Sy qui était en visite à la 32e édition de la foire de Dakar où l’Ipres et la Css partagent le même Stand, « ce système d'information est une révolution car, il a permis de régler plusieurs incohérences ». « Avant, qu'est-ce qui se passait ? On payait à la caisse et on n’en faisait pas autant à l’Ipres. Pourquoi ? Parce que la caisse payait les allocations familiales. Et il y avait aussi une forte évasion sociale. À la caisse de sécurité sociale, il y avait aussi ce qu'on appelle des carrières fictives qui étaient créées. Donc il n'y avait pas de contrôle, notamment biométrique, et l'adhérent n'était pas bien identifié. Maintenant, avec ce système d'information, on a pu obtenir une économie de 500 à 1 milliard par mois. C’est à saluer », a t-il martelé.
L’objectif des deux institutions, est de permettre à leurs clients d’aller à la retraite et d’avoir des pensions correctes. Selon le président du conseil d’administration de l’institution de prévoyance retraite du Sénégal ( IPRES), « ce qui se passe au Sénégal est une hérésie ». En effet, dira-t-il « il n’y a que dans ce pays où on retrouve deux caisses distinctes ». C’est d’ailleurs à partir de cette volonté exprimée par le gouvernement de fusionner les deux institutions, que des efforts doivent être menés pour avoir un système commun.
Selon Mamadou Racine Sy qui était en visite à la 32e édition de la foire de Dakar où l’Ipres et la Css partagent le même Stand, « ce système d'information est une révolution car, il a permis de régler plusieurs incohérences ». « Avant, qu'est-ce qui se passait ? On payait à la caisse et on n’en faisait pas autant à l’Ipres. Pourquoi ? Parce que la caisse payait les allocations familiales. Et il y avait aussi une forte évasion sociale. À la caisse de sécurité sociale, il y avait aussi ce qu'on appelle des carrières fictives qui étaient créées. Donc il n'y avait pas de contrôle, notamment biométrique, et l'adhérent n'était pas bien identifié. Maintenant, avec ce système d'information, on a pu obtenir une économie de 500 à 1 milliard par mois. C’est à saluer », a t-il martelé.