Après le stage d’avant saison au Maroc, les joueurs apprécient une nouvelle fois cet autre camp de travail se déroule à Abidjan. « On est bien entre nous, bien dans notre peau. On fait de bonnes séances. On est là pour préparer la Ligue des Champions, pas seulement le championnat guinéen, sinon on ne serait pas là. Nous avons fait un stage d’avant saison au Maroc, mais ces deux préparations n’ont pas les mêmes objectifs. On n’est venu ici pour s’adapter au climat étranger dans l’optique de la Coupe d’Afrique, pour qu’à Dakar il n’y ait pas de problème », affirme-t-il.
Comparativement au stage effectué à El-Jadida, celui de Sol Béni a un tout autre contenu. « La préparation d’ici consiste à faire les réglages, augmenter le volume physique, afin de prétendre obtenirla qualification. Je pense qu’aujourd’hui, physiquement on est au top, parce qu’on a un préparateur physique de haut niveau. On a également un entraineur de haut niveau, et les joueurs sont conscients de la tâche qui est la leur. L’objectif cette saison étant d’entrer dans les phases de poule, ça ne servirait à rien de jouer deux matchs et être éliminé. Chacun de nous a signé un contrat qu’il se doit d’honorer. Comme on le dit, quand on doit mourir, il faut mourir les armes à la main », fait savoir Khadim NDIAYE.
Le gardien international sénégalais, se réjouit de la parfaite entente qui règne dans l’équipe cette saison. « Ce qui a changé cette année, c’est l’état d’esprit. L’année passée on vivait mal, il n’y avait pas d’entente. Il y avait beaucoup de jalousie, de rivalités. Moi, je ne prétends pas atteindre mes objectifs dans un groupe, où ça vit mal. Il faut qu’on soit bien entre nous, qu’on garde l’homogénéité » déclare Khadim.
En concurrence avec deux autres portiers tout aussi talentueux, le premier rempart du HAC parle d’une concurrence loyale. « On n’est pas des ennemis, mais des frères. Mais, dans le cadre du travail, on va instaurer une concurrence saine. Pour garder ma place dans les buts du Horoya, il faut que j’élève mon niveau de jeu. Dans une grande équipe, il faut au moins deux ou trois gardiens. Le jeune Moussa CAMARA est en train de progresser. Je demande même à Moussa de prendre son temps, parce que je sais que son heure viendra. S’il continue de travailler de cette façon, je parie qu’il sera le gardien du Syli A dans deux années. C’est comme Germain BERTHE, qui pour moi est un frère, et nous nous battons pour les mêmes causes », soutient-il.
Précisons que Khadim NDIAYE est papa d’une fillette, depuis le lundi 18 janvier. Félicitations au portier du HAC !
Comparativement au stage effectué à El-Jadida, celui de Sol Béni a un tout autre contenu. « La préparation d’ici consiste à faire les réglages, augmenter le volume physique, afin de prétendre obtenirla qualification. Je pense qu’aujourd’hui, physiquement on est au top, parce qu’on a un préparateur physique de haut niveau. On a également un entraineur de haut niveau, et les joueurs sont conscients de la tâche qui est la leur. L’objectif cette saison étant d’entrer dans les phases de poule, ça ne servirait à rien de jouer deux matchs et être éliminé. Chacun de nous a signé un contrat qu’il se doit d’honorer. Comme on le dit, quand on doit mourir, il faut mourir les armes à la main », fait savoir Khadim NDIAYE.
Le gardien international sénégalais, se réjouit de la parfaite entente qui règne dans l’équipe cette saison. « Ce qui a changé cette année, c’est l’état d’esprit. L’année passée on vivait mal, il n’y avait pas d’entente. Il y avait beaucoup de jalousie, de rivalités. Moi, je ne prétends pas atteindre mes objectifs dans un groupe, où ça vit mal. Il faut qu’on soit bien entre nous, qu’on garde l’homogénéité » déclare Khadim.
En concurrence avec deux autres portiers tout aussi talentueux, le premier rempart du HAC parle d’une concurrence loyale. « On n’est pas des ennemis, mais des frères. Mais, dans le cadre du travail, on va instaurer une concurrence saine. Pour garder ma place dans les buts du Horoya, il faut que j’élève mon niveau de jeu. Dans une grande équipe, il faut au moins deux ou trois gardiens. Le jeune Moussa CAMARA est en train de progresser. Je demande même à Moussa de prendre son temps, parce que je sais que son heure viendra. S’il continue de travailler de cette façon, je parie qu’il sera le gardien du Syli A dans deux années. C’est comme Germain BERTHE, qui pour moi est un frère, et nous nous battons pour les mêmes causes », soutient-il.
Précisons que Khadim NDIAYE est papa d’une fillette, depuis le lundi 18 janvier. Félicitations au portier du HAC !