Ont été exclues de cette grâce toutes les personnes condamnées pour des infractions particulièrement graves comme certains crimes de sang, attentats aux mœurs et trafics de drogue, renseigne le texte qui note, que " par cette mesure, le Président de la République a tenu, à l’occasion de la célébration de la fête de la Korité, à accorder son pardon à des citoyens qui s’étaient mis en marge de la Loi".
Le Chef de l’Etat traduit ainsi son engagement résolu en faveur de la dignité de la personne humaine. Il a voulu, en même temps, donner à une catégorie de citoyens momentanément en conflit avec la Loi, la chance de se ressaisir, souligne le document.
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