Ndèye Fatou Soumah a rêvé de Londres: "J'avais dit à ma mère que j'irais là-bas pour les JO" de 2012, affirme la sprinteuse sénégalaise, qui vise les demi-finales sur 200 m aux Jeux (27 juillet-12 août), où elle sera accompagnée d'une trentaine d'athlètes de son pays.
"Je ne sais pas pourquoi mais lorsqu'il y a eu le vote (en juillet 2005) entre Paris et Londres pour choisir la ville olympique, j'étais en faveur de Londres", dit-elle, sourire aux lèvres.
Son rêve a été exaucé quand elle a réalisé les minima sur 200 m (23 sec 6/10e). Elle a ensuite obtenu aussi son billet sur 400 m.
"A Londres, je ne vais m'aligner que sur 200 m, précise-t-elle cependant. Sur cette distance, j'ai plus de chances d'atteindre mon objectif de demi-finale et de vivre pleinement mon rêve".
L'an dernier, elle avait déjà atteint les demi-finales, sur 400 m, aux Mondiaux de Daegu.
L'athlète de 26 ans a commencé à se forger un destin de sprinteuse à Saint-Louis, sa ville d'origine dans le nord du Sénégal. Elle court alors pour aller à l'école, faire des courses, partout et tout le temps.
L'entraîneur sénégalais Christophe Nassalane, découvreur de talents depuis plus de trente ans, se souvient: "Je l'ai remarquée à la sortie de son école. Elle avait quelque chose dans sa façon de courir. Il fallait qu'elle vienne s'essayer à l'athlétisme".
Quand sa mère, ancienne basketteuse, déménage à Dakar, Ndèye Fatou Soumah réussit à la convaincre de la laisser faire de l'athlétisme.
Elle tâte toutes les distances et s'essaie même un peu au saut en longueur, mais finit par se spécialiser en sprint, sur 100, 200 et 400 mètres.
"La grande famille du centre d'athlétisme de Dakar"
Rapidement, elle se prend d'affection pour le tour de piste comme son idole, sa compatriote Amy Mbacké Thiam, championne du monde du 400 m en 2001.
Elle entre au Centre International d'Athlétisme de Dakar (CIAD), l'un des rares établissements de formation d'athlètes de haut niveau en Afrique.
AFP
"Je ne sais pas pourquoi mais lorsqu'il y a eu le vote (en juillet 2005) entre Paris et Londres pour choisir la ville olympique, j'étais en faveur de Londres", dit-elle, sourire aux lèvres.
Son rêve a été exaucé quand elle a réalisé les minima sur 200 m (23 sec 6/10e). Elle a ensuite obtenu aussi son billet sur 400 m.
"A Londres, je ne vais m'aligner que sur 200 m, précise-t-elle cependant. Sur cette distance, j'ai plus de chances d'atteindre mon objectif de demi-finale et de vivre pleinement mon rêve".
L'an dernier, elle avait déjà atteint les demi-finales, sur 400 m, aux Mondiaux de Daegu.
L'athlète de 26 ans a commencé à se forger un destin de sprinteuse à Saint-Louis, sa ville d'origine dans le nord du Sénégal. Elle court alors pour aller à l'école, faire des courses, partout et tout le temps.
L'entraîneur sénégalais Christophe Nassalane, découvreur de talents depuis plus de trente ans, se souvient: "Je l'ai remarquée à la sortie de son école. Elle avait quelque chose dans sa façon de courir. Il fallait qu'elle vienne s'essayer à l'athlétisme".
Quand sa mère, ancienne basketteuse, déménage à Dakar, Ndèye Fatou Soumah réussit à la convaincre de la laisser faire de l'athlétisme.
Elle tâte toutes les distances et s'essaie même un peu au saut en longueur, mais finit par se spécialiser en sprint, sur 100, 200 et 400 mètres.
"La grande famille du centre d'athlétisme de Dakar"
Rapidement, elle se prend d'affection pour le tour de piste comme son idole, sa compatriote Amy Mbacké Thiam, championne du monde du 400 m en 2001.
Elle entre au Centre International d'Athlétisme de Dakar (CIAD), l'un des rares établissements de formation d'athlètes de haut niveau en Afrique.
AFP