Le journal Enquête fait, dans son édition du jour, une terrible révélation : 20 000 Sénégalais ont atteint le stade d’insuffisance rénale aigüe, 8000 d’entre eux en phase terminale sont concentrés à Dakar et moins de 1000 sont en hémodialyse à travers le pays.
Très peiné par un tableau aussi sombre, le mouvement des insuffisants rénaux du Sénégal tire la sonnette d’alarme et demande un soutien aux bonnes volontés et organisations non gouvernementales œuvrant pour le bien-être des populations.
Pire, les nouveaux malades sont accueillis sur des listes d’attente ou la mort les cueille au bout de 15 jours. Le mouvement de faire remarquer que la séance de dialyse est taxée dans le privé à 65 000 Fcfa, soit 780 000 par mois et 9 360 000 Fcfa l’an.
Les malades, pour la plupart des démunis ne bénéficiant pas des Bourses de sécurité familiale, sont renvoyés de leur emploi et n’ont aucune possibilité de contracter un prêt ou une assurance. Les hémodialyses accumulent, eux, les ordonnances et les bilans médicaux.
SENEWEB
Très peiné par un tableau aussi sombre, le mouvement des insuffisants rénaux du Sénégal tire la sonnette d’alarme et demande un soutien aux bonnes volontés et organisations non gouvernementales œuvrant pour le bien-être des populations.
Pire, les nouveaux malades sont accueillis sur des listes d’attente ou la mort les cueille au bout de 15 jours. Le mouvement de faire remarquer que la séance de dialyse est taxée dans le privé à 65 000 Fcfa, soit 780 000 par mois et 9 360 000 Fcfa l’an.
Les malades, pour la plupart des démunis ne bénéficiant pas des Bourses de sécurité familiale, sont renvoyés de leur emploi et n’ont aucune possibilité de contracter un prêt ou une assurance. Les hémodialyses accumulent, eux, les ordonnances et les bilans médicaux.
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