C’est la honte et la désolation qui se sont confortablement installées à Saint-Louis. Et comme un mal irréversible, la haute puissance des mareyeurs défie tous les pouvoirs. À l’enterrement de l’illustre Saint-Louisien Lamine Coura FALL, l’hégémonie de ces commerçants de poisson a été bien étalée au cortège qui accompagnait cette grande star de sport dans sa dernière demeure. Certains, coincés dans leurs véhicules, n’ont pu voir la couleur des murs des Cimetières de Guet-Ndar à cause d’une rangée de Camions frigorifiques ne reculent rien, même pour laisser passer un mort.
Ils détruisent les murs des Cimetières de Thième et Thiaka NDIAYE
Les murs de ce sanctuaire où reposent toutes les réminiscences de la ville ne paient pas les frais de ce stationnement anarchique qui installe dans cet endroit en besoin de quiétude, un tintamarre assourdissant, entre musique, rires aux éclats et bagarres à longueur de journée. L’odeur infeste qu’ils dégagent chasse les visiteurs qui repartent déboussolés, en gardant leur mal et leur amertume en patience.
De la vente de chanvre indien dans les cimetières
Les interpellations répétitives de l’imam Mouhammedou Abdoulaye CISSE semblent ne pas atterrir dans les autorités de la ville et du maire Mansour FAYE qui, depuis son installation à la tête de la Commune, adopte la langue de bois sur cette affaire.
L’imam dans un de ses sermons a révélé qu’un réseau de vente de chanvre indien s’était établi de manière dévergondée dans les cimetières. Récemment sur Ndarinfo, c’est Serigne Abdoulaye Bamba SARR qui s’est offusqué de la profanation de certaines tombes de personnalités religieuses et mourides. Les messages d’indignation sont unanimes, forts et multiples, mais la Mairie reste toujours insensible.
Ils tuent le tourisme et pourchassent les touristes.
À partir de 18 heures, après avoir fait le plein de poissons, ces camions tiennent l’entrée et la sortie de l’ile en otage et déversent à leur passage du sang de poisson à humer par force. L’essieu du Faidherbe n’est pas respecté et la bonne survie de cet ouvrage métallique est grandement menacée. Des touristiques fuit l’entrée de l’hydrobase pour endurer le fardeau du bouchon éternel et le décor qu’offrent les chairs de poissons piétinés qui donne plus en envie de manger le Thiébou Djeunn. Le patrimoine de Saint-Louis déjà en péril du fait de sa gestion amateurisme semble vivre ses derniers. Mansour FAYE prendra-t-il ses responsabilités devant ce danger ?
We Wait and See !
Ils détruisent les murs des Cimetières de Thième et Thiaka NDIAYE
Les murs de ce sanctuaire où reposent toutes les réminiscences de la ville ne paient pas les frais de ce stationnement anarchique qui installe dans cet endroit en besoin de quiétude, un tintamarre assourdissant, entre musique, rires aux éclats et bagarres à longueur de journée. L’odeur infeste qu’ils dégagent chasse les visiteurs qui repartent déboussolés, en gardant leur mal et leur amertume en patience.
De la vente de chanvre indien dans les cimetières
Les interpellations répétitives de l’imam Mouhammedou Abdoulaye CISSE semblent ne pas atterrir dans les autorités de la ville et du maire Mansour FAYE qui, depuis son installation à la tête de la Commune, adopte la langue de bois sur cette affaire.
L’imam dans un de ses sermons a révélé qu’un réseau de vente de chanvre indien s’était établi de manière dévergondée dans les cimetières. Récemment sur Ndarinfo, c’est Serigne Abdoulaye Bamba SARR qui s’est offusqué de la profanation de certaines tombes de personnalités religieuses et mourides. Les messages d’indignation sont unanimes, forts et multiples, mais la Mairie reste toujours insensible.
Ils tuent le tourisme et pourchassent les touristes.
À partir de 18 heures, après avoir fait le plein de poissons, ces camions tiennent l’entrée et la sortie de l’ile en otage et déversent à leur passage du sang de poisson à humer par force. L’essieu du Faidherbe n’est pas respecté et la bonne survie de cet ouvrage métallique est grandement menacée. Des touristiques fuit l’entrée de l’hydrobase pour endurer le fardeau du bouchon éternel et le décor qu’offrent les chairs de poissons piétinés qui donne plus en envie de manger le Thiébou Djeunn. Le patrimoine de Saint-Louis déjà en péril du fait de sa gestion amateurisme semble vivre ses derniers. Mansour FAYE prendra-t-il ses responsabilités devant ce danger ?
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