HRW accuse Kigali de tenter de faire taire toute voix critique. Des journalistes, des YouTubeurs, des opposants sont victimes d'atteintes à leur liberté.
Human Rights Watch vient de publier un document qui dénonce la répression, par les autorités du Rwanda, des voix qui s'élèvent pour critiquer le gouvernement: des journalistes, des YouTubeurs, des militants de la société civile, des membres de l'opposition.
Ces personnes sont victimes, selon l'ONG, d'intimidations, de violences, de procès iniques qui visent à museler leur liberté d'expression.
Lewis Mudge, directeur du bureau de Human Rights Watch pour l'Afrique centrale, estime que ces abus se cristallisent autour d'une "ligne rouge à ne pas franchir au Rwanda": les autorités de Kigali ne tolèrent pas qu'on évoque les victimes hutus de 1994 ou les crimes commis par le FPR, parti de Paul Kagame, au pouvoir depuis la fin du génocide.
DW
Human Rights Watch vient de publier un document qui dénonce la répression, par les autorités du Rwanda, des voix qui s'élèvent pour critiquer le gouvernement: des journalistes, des YouTubeurs, des militants de la société civile, des membres de l'opposition.
Ces personnes sont victimes, selon l'ONG, d'intimidations, de violences, de procès iniques qui visent à museler leur liberté d'expression.
Lewis Mudge, directeur du bureau de Human Rights Watch pour l'Afrique centrale, estime que ces abus se cristallisent autour d'une "ligne rouge à ne pas franchir au Rwanda": les autorités de Kigali ne tolèrent pas qu'on évoque les victimes hutus de 1994 ou les crimes commis par le FPR, parti de Paul Kagame, au pouvoir depuis la fin du génocide.
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