Opposé à la "profanation" de l'histoire et notamment l'esclavage, l'activiste Guy Marius Sagna, arrêté puis relaxé après plus de 24 h de garde à vue, dit ne pas regretter son acte. Le leader du mouvement "France dégage" assume, persiste et signe.
"Ils ont dit que j'étais poursuivi pour le délit d'acte de sabotage d'un site historique. Le procureur a décidé de classer l'affaire sans suite. Mais je voudrais dire que si j'ai commis un délit, c'est celui de sabotage d'un sabotage. Je ne regrette point mon acte. Parce qu'il est inadmissible de profaner l'histoire de Gorée jusqu'à ce point", confie-il dans le quotidien Les Echos.
Pour rappel, l'activiste avait déchiré la bâche lors de l'inauguration de la Place de l'Europe à Gorée, un évènement qui a coïncidé avec le 40e anniversaire de l'inscription de l'île de Gorée au patrimoine mondial, le 70e anniversaire de la Déclaration des droits de l'Homme et de la Journée de l'Europe.
SENEWEB
"Ils ont dit que j'étais poursuivi pour le délit d'acte de sabotage d'un site historique. Le procureur a décidé de classer l'affaire sans suite. Mais je voudrais dire que si j'ai commis un délit, c'est celui de sabotage d'un sabotage. Je ne regrette point mon acte. Parce qu'il est inadmissible de profaner l'histoire de Gorée jusqu'à ce point", confie-il dans le quotidien Les Echos.
Pour rappel, l'activiste avait déchiré la bâche lors de l'inauguration de la Place de l'Europe à Gorée, un évènement qui a coïncidé avec le 40e anniversaire de l'inscription de l'île de Gorée au patrimoine mondial, le 70e anniversaire de la Déclaration des droits de l'Homme et de la Journée de l'Europe.
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