Quelque 40 000 hectares sur les 817 500 hectares du tracé sénégalais de la Grande muraille verte (GMV) ont été reboisés, a révélé le colonel Pape Sarr, responsable technique de l’Agence nationale de la GMV.
"Avec ces chiffres, on se dit que c’est un travail sans fin !", a reconnu le colonel Sarr dans un reportage paru sur le site du journal français Le Monde visité, mardi, à l’APS.
"Mais, en plus du reboisement, il y a tout un travail de restauration des terres dégradées, de protection et de mise en défens. D’ici une vingtaine d’années, on espère que les conditions de survie de l’écosystème seront rassemblées", a relevé Pape Sarr.
l’Agence nationale de la GMV indique qu’"entre 2008 et 2014, 13 000 hectares ont été mis en défens" et que 75 emplois directs ont été crées durant ces 6 ans et 1800 emplois indirects annuels liés aux pépinières et aux jardins polyvalents.
Parlant de la zone de Kooyaah, à une cinquantaine de kilomètres de la ville Saint-Louis, Le Monde écrit que "huit ans après l’implantation des premières parcelles […], il est encore trop tôt pour tirer des conclusions tranchées".
"D’après les responsables, chercheurs et éleveurs, la régénération des espèces végétales est bien réelle mais le processus est très lent. En moyenne, entre 1,7 et 2 millions de plants sont mis en terre chaque année pour une superficie moyenne de 5 000 hectares de reboisement annuel".
D’après le colonel Sarr, le taux de réussite du reboisement tourne "entre 70 % et 75 %" en fonction des parcelles et des années, un taux correct compte tenu de l’aridité et du manque d’eau dans la zone. "D’ici une vingtaine d’années, on espère que les conditions de survie de l’écosystème seront rassemblées", a-t-il ajouté.
Le gouvernement sénégalais injecte chaque année une enveloppe de 1,3 million d’euros, selon Le Monde.
APS
"Avec ces chiffres, on se dit que c’est un travail sans fin !", a reconnu le colonel Sarr dans un reportage paru sur le site du journal français Le Monde visité, mardi, à l’APS.
"Mais, en plus du reboisement, il y a tout un travail de restauration des terres dégradées, de protection et de mise en défens. D’ici une vingtaine d’années, on espère que les conditions de survie de l’écosystème seront rassemblées", a relevé Pape Sarr.
l’Agence nationale de la GMV indique qu’"entre 2008 et 2014, 13 000 hectares ont été mis en défens" et que 75 emplois directs ont été crées durant ces 6 ans et 1800 emplois indirects annuels liés aux pépinières et aux jardins polyvalents.
Parlant de la zone de Kooyaah, à une cinquantaine de kilomètres de la ville Saint-Louis, Le Monde écrit que "huit ans après l’implantation des premières parcelles […], il est encore trop tôt pour tirer des conclusions tranchées".
"D’après les responsables, chercheurs et éleveurs, la régénération des espèces végétales est bien réelle mais le processus est très lent. En moyenne, entre 1,7 et 2 millions de plants sont mis en terre chaque année pour une superficie moyenne de 5 000 hectares de reboisement annuel".
D’après le colonel Sarr, le taux de réussite du reboisement tourne "entre 70 % et 75 %" en fonction des parcelles et des années, un taux correct compte tenu de l’aridité et du manque d’eau dans la zone. "D’ici une vingtaine d’années, on espère que les conditions de survie de l’écosystème seront rassemblées", a-t-il ajouté.
Le gouvernement sénégalais injecte chaque année une enveloppe de 1,3 million d’euros, selon Le Monde.
APS