Après trois ans de mise en œuvre, l’heure du bilan a sonné pour le Projet « Organisation paysanne comme acteurs clefs dans la bonne gouvernance des filières rizicoles aux niveaux national et régional en Afrique de l’Ouest » porté par Veco Afrique de l’Ouest en collaboration avec la Fédération des producteurs du Bassin de l’Anambé (Feproba) dans la région de Kolda et l’Union des Jeunes agriculteurs de Koyli Wirndé (Ujak) à Podor. Le tableau dressé par Mame Birame Ndiaye, point focal de l’antenne Veco au Sénégal, hier, lors de l’ouverture de l’atelier de bilan et de capitalisation montre des résultats globalement positifs.
En ce sens que nombre d’activités qui étaient prévues ont été menées et les objectifs qui étaient fixés atteints. « Nous avons pu dérouler des actions concertées de plaidoyer avec les décideurs publics. Au lieu d’un plaidoyer unilatéral, on a mené des processus multi-acteurs pour réfléchir sur des problématiques et proposer des solutions et des stratégies de mises en œuvre. C’est pourquoi qu’à chaque fois, une thématique était identifiée, nous l’avons fait porter à une structure étatique qui, avec l’Ong et les Organisations paysannes, réfléchit sur les solutions à proposer », a affirmé M. Ndiaye.
Ainsi, le principal acquis de ce projet, c’est d’avoir permis aux acteurs de la filière riz de l’Anambé et de Podor d’avoir une bonne connaissance de l’environnement de la chaîne de valeurs riz. A ce propos, une « mine d’informations » est disponible grâce aux études, ateliers et travaux menés dans ce projet.
Parmi les activités ayant permis d’avoir cette masse critique d’informations, on peut relever l’analyse de la chaîne de valeurs riz et de la situation socioéconomique des producteurs du Bassin de l’Anambé ; l’étude sur les impacts des importations de riz sur la commercialisation du riz local ; les ateliers de formation sur l’approche chaîne de valeurs dans les bassins de production de l’Anambé et de Podor.
Les ateliers de réflexion sur le financement des chaînes de valeurs par les institutions financières, d’évaluation de la commercialisation du riz local par le système de régulation des importations en collaboration avec l’Arm, de consolidation de la représentativité des différents collèges du Ciriz national en collaboration avec le Fndaps etc. Toutes choses qui, pour Mame Birame Ndiaye, « donnent une photographie claire de la chaîne de valeurs riz dans la commercialisation, la production mais aussi des relations entre les acteurs ».
Les résultats de l’atelier de Dakar alimenteront l’atelier régional de capitalisation et de plaidoyer prévu les 3 et 4 juillet prochains à Ouagadougou.
LESOLEIL
En ce sens que nombre d’activités qui étaient prévues ont été menées et les objectifs qui étaient fixés atteints. « Nous avons pu dérouler des actions concertées de plaidoyer avec les décideurs publics. Au lieu d’un plaidoyer unilatéral, on a mené des processus multi-acteurs pour réfléchir sur des problématiques et proposer des solutions et des stratégies de mises en œuvre. C’est pourquoi qu’à chaque fois, une thématique était identifiée, nous l’avons fait porter à une structure étatique qui, avec l’Ong et les Organisations paysannes, réfléchit sur les solutions à proposer », a affirmé M. Ndiaye.
Ainsi, le principal acquis de ce projet, c’est d’avoir permis aux acteurs de la filière riz de l’Anambé et de Podor d’avoir une bonne connaissance de l’environnement de la chaîne de valeurs riz. A ce propos, une « mine d’informations » est disponible grâce aux études, ateliers et travaux menés dans ce projet.
Parmi les activités ayant permis d’avoir cette masse critique d’informations, on peut relever l’analyse de la chaîne de valeurs riz et de la situation socioéconomique des producteurs du Bassin de l’Anambé ; l’étude sur les impacts des importations de riz sur la commercialisation du riz local ; les ateliers de formation sur l’approche chaîne de valeurs dans les bassins de production de l’Anambé et de Podor.
Les ateliers de réflexion sur le financement des chaînes de valeurs par les institutions financières, d’évaluation de la commercialisation du riz local par le système de régulation des importations en collaboration avec l’Arm, de consolidation de la représentativité des différents collèges du Ciriz national en collaboration avec le Fndaps etc. Toutes choses qui, pour Mame Birame Ndiaye, « donnent une photographie claire de la chaîne de valeurs riz dans la commercialisation, la production mais aussi des relations entre les acteurs ».
Les résultats de l’atelier de Dakar alimenteront l’atelier régional de capitalisation et de plaidoyer prévu les 3 et 4 juillet prochains à Ouagadougou.
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