Le public est au rendez-vous. Parmi les 300 candidats, ils ne seront plus que 10 pour la finale, ce samedi, dès 21 h, au Théâtre national Daniel Sorano. En effet, suite à l’appel à candidature pour le projet «Sunu talents», initié par le Goethe-Institut, 10 jeunes talents issus des 13 régions du Sénégal, ont été sélectionnés pour la finale.
Ainsi, c’est sur la base de vidéos qu’ils ont réalisées lors des restitutions de chaque résidence, que le public a voté et permis, avec les votes des membres du jury, composé de professionnels de la musique comme Baaba Maal et Bril, de la danse, Germaine Acogny et Khoudia Touré, et du théâtre, Massamba Guèye et Ndiaye Ciré Bâ, de désigner les 10 finalistes qui se produiront sur la scène du Théâtre Daniel Sorano. «Sunu talents» vise à mettre en lumière les talents artistiques des jeunes créateurs issus des régions du Sénégal et à leur apporter un accompagnement professionnel. «Les régions foisonnent de jeunes talents qui ne bénéficient pas de la même visibilité que les artistes de la capitale. Pourtant, ils ne demandent qu’à exposer leur travail sur la scène nationale et internationale», soulignent les organisateurs hier, lors d’une conférence de presse au Grand Théâtre national, sous la présidence de Philippe Küppers, directeur de Goethe-Institut, devant les coaches ainsi que les différents finalistes.
Face à ce constat, le Goethe-Institut, soutenu par le programme «Réussir au Sénégal» de la coopération allemande Giz, a initié ce projet «inédit». Il réunit les jeunes talents issus des régions, même des plus lointaines. La pression est double pour les 10 finalistes. En effet, ils auront le privilège de partager la scène avec le parrain de cette édition, Baaba Maal, pour une prestation commune.
D’après les organisateurs, la préparation du spectacle est déjà en cours et la résidence artistique des finalistes venus de toutes les régions du Sénégal est lancée. «Artistes, coaches et toutes les équipes techniques sont déjà à pied d’œuvre pour offrir au public un show exceptionnel, qui sera diffusé en direct à la télévision, à partir de 21h», précisent-ils dans le communiqué. Le Sénégal regorge de jeunes talents artistiques non exploités.
L’adhésion au projet «Sunu talents» est une manière de représenter, avec fierté, cette riche diversité culturelle du Sénégal et sa jeunesse. «C’est donc avec honneur que je porte ce rôle de parrain et juré», dit Baba Maal dans un document remis à la presse. Pour les finalistes en catégorie danse, il y a Ndar Danse (Saint-Louis), Idol Boyz (Thiès), Compagnie Sénégal Danse (Saint-Louis). Catégorie théâtre, il y a : les compagnies théâtrales Etoiles du Saloum (Kaolack), les copins’arts (Saint-Louis), Les références (Saint Louis). Et enfin pour la catégorie musique, ce sont L.P.S Boy Thianaff (Sédhiou), Oumar Fouta (Saint-Louis), Pb Style (Ziguinchor), Thié l’esprit (Thiès).
Anta Guèye, l’une des finalistes de la compagnie de théâtre Les copins’arts de Saint-Louis, se dit déjà prête pour la finale car, dit-elle, il n’y a pas de miracle pour gagner. «Dès les premiers jours, les coaches nous ont fait savoir qu’il n’y a pas de différenciation. On vient tous des régions. Donc, on se connait déjà et cela nous a aidés à mieux travailler ensemble. Et c’est avec ce même esprit qu’on est venus en finale», a-t-elle fait savoir.
Pour sa part, Oumar Fouta, quant à lui, a invité ses amis qui n’auront pas la possibilité de se rendre à Sorano, de suivre la finale à la télévision à partir de 21 heures, car, dit-il, «ça va chauffer».
Ainsi, c’est sur la base de vidéos qu’ils ont réalisées lors des restitutions de chaque résidence, que le public a voté et permis, avec les votes des membres du jury, composé de professionnels de la musique comme Baaba Maal et Bril, de la danse, Germaine Acogny et Khoudia Touré, et du théâtre, Massamba Guèye et Ndiaye Ciré Bâ, de désigner les 10 finalistes qui se produiront sur la scène du Théâtre Daniel Sorano. «Sunu talents» vise à mettre en lumière les talents artistiques des jeunes créateurs issus des régions du Sénégal et à leur apporter un accompagnement professionnel. «Les régions foisonnent de jeunes talents qui ne bénéficient pas de la même visibilité que les artistes de la capitale. Pourtant, ils ne demandent qu’à exposer leur travail sur la scène nationale et internationale», soulignent les organisateurs hier, lors d’une conférence de presse au Grand Théâtre national, sous la présidence de Philippe Küppers, directeur de Goethe-Institut, devant les coaches ainsi que les différents finalistes.
Face à ce constat, le Goethe-Institut, soutenu par le programme «Réussir au Sénégal» de la coopération allemande Giz, a initié ce projet «inédit». Il réunit les jeunes talents issus des régions, même des plus lointaines. La pression est double pour les 10 finalistes. En effet, ils auront le privilège de partager la scène avec le parrain de cette édition, Baaba Maal, pour une prestation commune.
D’après les organisateurs, la préparation du spectacle est déjà en cours et la résidence artistique des finalistes venus de toutes les régions du Sénégal est lancée. «Artistes, coaches et toutes les équipes techniques sont déjà à pied d’œuvre pour offrir au public un show exceptionnel, qui sera diffusé en direct à la télévision, à partir de 21h», précisent-ils dans le communiqué. Le Sénégal regorge de jeunes talents artistiques non exploités.
L’adhésion au projet «Sunu talents» est une manière de représenter, avec fierté, cette riche diversité culturelle du Sénégal et sa jeunesse. «C’est donc avec honneur que je porte ce rôle de parrain et juré», dit Baba Maal dans un document remis à la presse. Pour les finalistes en catégorie danse, il y a Ndar Danse (Saint-Louis), Idol Boyz (Thiès), Compagnie Sénégal Danse (Saint-Louis). Catégorie théâtre, il y a : les compagnies théâtrales Etoiles du Saloum (Kaolack), les copins’arts (Saint-Louis), Les références (Saint Louis). Et enfin pour la catégorie musique, ce sont L.P.S Boy Thianaff (Sédhiou), Oumar Fouta (Saint-Louis), Pb Style (Ziguinchor), Thié l’esprit (Thiès).
Anta Guèye, l’une des finalistes de la compagnie de théâtre Les copins’arts de Saint-Louis, se dit déjà prête pour la finale car, dit-elle, il n’y a pas de miracle pour gagner. «Dès les premiers jours, les coaches nous ont fait savoir qu’il n’y a pas de différenciation. On vient tous des régions. Donc, on se connait déjà et cela nous a aidés à mieux travailler ensemble. Et c’est avec ce même esprit qu’on est venus en finale», a-t-elle fait savoir.
Pour sa part, Oumar Fouta, quant à lui, a invité ses amis qui n’auront pas la possibilité de se rendre à Sorano, de suivre la finale à la télévision à partir de 21 heures, car, dit-il, «ça va chauffer».