Le Colonel Lamine Kane, directeur des parcs nationaux du Sénégal qui présidait la cérémonie de clôture de l’atelier sur la conservation des oiseaux migrateurs, a indiqué que beaucoup d’efforts ont été consentis dans ce domaine mais il subsiste aussi différentes difficultés auxquelles nous faisons face.
« Elles sont liées essentiellement à la reconversion des zones humides mais aussi un déficit de mise en œuvre de l’approche intégrée de gestion de ces ressources partagées par différents acteurs. L’autre difficulté est liée au moyen pour assurer la gestion de ces zones humides mais aussi les oiseaux migratoires qui fréquentent les zones humides. Il y a au delà de ces difficultés un déficit au point de vue expertise bien qu’il y ait d’importantes forces, mais il y'a des limites par rapport à un gab a combler pour avoir une meilleure expertise pour la gestion de ces oiseaux migratoires » a-t-il dit.
Il y a aussi des difficultés liées à l’amélioration de la base de connaissances, a poursuivi le Colonel Kane et sur ce plan, il y des lacunes pour avoir une meilleure connaissance des ressources des oiseaux migratoires.
Il y a enfin le problème du changement climatique auquel nous faisons face, et les oiseaux migrateurs jouent un rôle important dans le climat a-t-il dit et par rapport au déploiement de certains effectifs, il y a des impacts importants par rapport aux changements globaux de façon générale et au changement climatique de façon particulière, sur le succès de l’intégrité de ces oiseaux migrateurs.
Cet atelier avait été organisé, selon Jacques Trouvilliez Secrétaire exécutif de l’Accord sur la conservation des oiseaux d'eau migrateurs d'Afrique-Eurasie (AEWA), afin de discuter des stratégies de conservation des oiseaux migratoires pour les 9 prochaines années.
Trois jours durant lesquels les experts venus des différentes régions d’Afrique ont échangé sur les meilleures stratégies pour à la fois conserver les oiseaux d’eau, les zones humides dont ils dépendent mais aussi démontrer que ces oiseaux contribuent à la lutte contre la pauvreté par le développement de projets d'écotourisme.
DAKARACTU
« Elles sont liées essentiellement à la reconversion des zones humides mais aussi un déficit de mise en œuvre de l’approche intégrée de gestion de ces ressources partagées par différents acteurs. L’autre difficulté est liée au moyen pour assurer la gestion de ces zones humides mais aussi les oiseaux migratoires qui fréquentent les zones humides. Il y a au delà de ces difficultés un déficit au point de vue expertise bien qu’il y ait d’importantes forces, mais il y'a des limites par rapport à un gab a combler pour avoir une meilleure expertise pour la gestion de ces oiseaux migratoires » a-t-il dit.
Il y a aussi des difficultés liées à l’amélioration de la base de connaissances, a poursuivi le Colonel Kane et sur ce plan, il y des lacunes pour avoir une meilleure connaissance des ressources des oiseaux migratoires.
Il y a enfin le problème du changement climatique auquel nous faisons face, et les oiseaux migrateurs jouent un rôle important dans le climat a-t-il dit et par rapport au déploiement de certains effectifs, il y a des impacts importants par rapport aux changements globaux de façon générale et au changement climatique de façon particulière, sur le succès de l’intégrité de ces oiseaux migrateurs.
Cet atelier avait été organisé, selon Jacques Trouvilliez Secrétaire exécutif de l’Accord sur la conservation des oiseaux d'eau migrateurs d'Afrique-Eurasie (AEWA), afin de discuter des stratégies de conservation des oiseaux migratoires pour les 9 prochaines années.
Trois jours durant lesquels les experts venus des différentes régions d’Afrique ont échangé sur les meilleures stratégies pour à la fois conserver les oiseaux d’eau, les zones humides dont ils dépendent mais aussi démontrer que ces oiseaux contribuent à la lutte contre la pauvreté par le développement de projets d'écotourisme.
DAKARACTU