Le président de la Confédération africaine des organisations professionnelles de la pêche artisanale (CAOPA), Gaoussou Guèye, a exhorté jeudi à un changement de comportement des acteurs et à une plus grande transparence dans la gestion du secteur.
"La transparence est un élément fondamental pour gérer la ressource d’une manière saine et durable", a-t-il déclaré à l’ouverture d’un atelier d’échange d’expériences sur les pratiques de pêche dans l’espace Go WAMER.
Le Cap-Vert, la Gambie, la guinée, la Guinée-Bissau, la Mauritanie et le Sénégal constituent les pays membres de l’espace WAMER, qui désigne un projet centré sur une gestion durable des ressources marines et côtières.
Selon Gaoussou Guèye, les chefs d’Etat africains ont compris les enjeux liés à cette problématique, en s’engageant sur un ’’cadre stratégique et politique des directives de l’Union africaine (UA)".
"Tout cela doit avoir un soubassement de volonté politique, car il ne s’agit pas seulement d’aller à des réunions, de prendre des engagements et ne pas les mettre en application", a indiqué le président de la CAOPA.
"Nous professionnels, nous avons une lourde responsabilité’’, celle de "gérer cette ressource, pour la léguer aux générations futures", alors que les acteurs sont plutôt ’’animés par l’appât de gain qui est extrêmement dangereux pour la ressource", a souligné Gaoussou Guèye.
APS
"La transparence est un élément fondamental pour gérer la ressource d’une manière saine et durable", a-t-il déclaré à l’ouverture d’un atelier d’échange d’expériences sur les pratiques de pêche dans l’espace Go WAMER.
Le Cap-Vert, la Gambie, la guinée, la Guinée-Bissau, la Mauritanie et le Sénégal constituent les pays membres de l’espace WAMER, qui désigne un projet centré sur une gestion durable des ressources marines et côtières.
Selon Gaoussou Guèye, les chefs d’Etat africains ont compris les enjeux liés à cette problématique, en s’engageant sur un ’’cadre stratégique et politique des directives de l’Union africaine (UA)".
"Tout cela doit avoir un soubassement de volonté politique, car il ne s’agit pas seulement d’aller à des réunions, de prendre des engagements et ne pas les mettre en application", a indiqué le président de la CAOPA.
"Nous professionnels, nous avons une lourde responsabilité’’, celle de "gérer cette ressource, pour la léguer aux générations futures", alors que les acteurs sont plutôt ’’animés par l’appât de gain qui est extrêmement dangereux pour la ressource", a souligné Gaoussou Guèye.
APS