Élus locaux, représentants de services déconcentrés, experts de l’Agence Régionale de Développement (ARD), chefs de villages et présidents de conseil de quartiers ont pris part se sont mobilisés à cet atelier devant aboutir à l’élaboration d’un plan d’action triennal de gestion des ressources de la mangrove.
Il s’agira, également, pour la trentaine d’acteurs en synergie de trouver une articulation pertinente entre la stratégie de sauvegarde et la territorialisation des politiques publiques locales. La nouvelle dynamique devra donc s’adapter aux outils de planification territoriale et les stratégies de développement local.
« Aujourd’hui, toute ambition est de restaurer cet écosystème et d’en profiter. Nous sommes engagés à être le réceptacle institutionnel de ce projet », a déclaré le secrétaire général du conseil départemental de Saint-Louis qui a insisté sur les retombées bénéfiques pour les collectivités.
« Elle offre des moyens de survie importants », a dit Amath DIA, s’inscrivant dans le sillage de Birane DIOP, conseiller municipal de GANDON.
En évoquant le développement de la pêche artisanale que la mangrove favorise, M. DIA appelle à l’instauration « d’une solidarité formalisée » entre les territoires pour garantir la réussite du projet de sauvegarde et de valorisation.
Il est important de noter que le plan d’action élaboré permettra aux trois collectivités locales de mettre en œuvre des initiatives pertinentes au profit de leurs populations.
« Ce plan sera en parfaite en cohérence avec le plan de développement départemental et les plans communaux », renseigne Nicolas DUPUY, le coordinateur du partenariat. « Les actions qui seront déroulées seront conformes au cadre de la décentralisation », a-t-il ajouté.
En plus de la mise en œuvre de cette démarche innovante, le Partenariat souhaite accompagner les collectivités par la mobilisation de ressources financières auprès des différentes pour rendre opérationnel le plan d’action au profit des populations.
►►► Suivez les réactions des parties prenantes ...
Il s’agira, également, pour la trentaine d’acteurs en synergie de trouver une articulation pertinente entre la stratégie de sauvegarde et la territorialisation des politiques publiques locales. La nouvelle dynamique devra donc s’adapter aux outils de planification territoriale et les stratégies de développement local.
« Aujourd’hui, toute ambition est de restaurer cet écosystème et d’en profiter. Nous sommes engagés à être le réceptacle institutionnel de ce projet », a déclaré le secrétaire général du conseil départemental de Saint-Louis qui a insisté sur les retombées bénéfiques pour les collectivités.
« Elle offre des moyens de survie importants », a dit Amath DIA, s’inscrivant dans le sillage de Birane DIOP, conseiller municipal de GANDON.
En évoquant le développement de la pêche artisanale que la mangrove favorise, M. DIA appelle à l’instauration « d’une solidarité formalisée » entre les territoires pour garantir la réussite du projet de sauvegarde et de valorisation.
Il est important de noter que le plan d’action élaboré permettra aux trois collectivités locales de mettre en œuvre des initiatives pertinentes au profit de leurs populations.
« Ce plan sera en parfaite en cohérence avec le plan de développement départemental et les plans communaux », renseigne Nicolas DUPUY, le coordinateur du partenariat. « Les actions qui seront déroulées seront conformes au cadre de la décentralisation », a-t-il ajouté.
En plus de la mise en œuvre de cette démarche innovante, le Partenariat souhaite accompagner les collectivités par la mobilisation de ressources financières auprès des différentes pour rendre opérationnel le plan d’action au profit des populations.
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