L'extension de la brèche vers la zone de Gandiol a engendré des conséquences négatives sur les activités humaines et notamment sur l’agriculture. « Des menaces multiformes se présentent face au village de Tassinère dont un phénomène extra-naturel matérialisé par l’apparition d’une bande de sable sur le littoral », a constaté jeudi René Massiga DIOUF, le président de l’African Journalist forum.
« Quarante pour cent 40% des agricultures sont affectés par la salinisation des sols », a-t-il renseigné en marge d’une visite de terrain avec des professionnels des média à Saint-Louis. L’impossibilité de la pratique agricole a « encouragé l’accroissement du phénomène de l’immigration clandestine », a-t-il expliqué devant Pape Cheikh THIAM, l'ancien président de la communauté rurale de Ndiébène Gandiol.
« Beaucoup ont perdu leurs sources de revenus et quittent la zone pour aller en Casamance, vers la petite et les zones intérieures pour développer leurs activités », a indiqué le journaliste qui déplore « un manque d’activités de restauration des moyens de subsistance » pouvant permettre de renforcer la résilience des impactés.
Il appelle à « plus d’effort en matière de sensibilisation et d’action », en préconisant une meilleure organisation des populations et l’appui renforcé des acteurs étatiques.
« Quarante pour cent 40% des agricultures sont affectés par la salinisation des sols », a-t-il renseigné en marge d’une visite de terrain avec des professionnels des média à Saint-Louis. L’impossibilité de la pratique agricole a « encouragé l’accroissement du phénomène de l’immigration clandestine », a-t-il expliqué devant Pape Cheikh THIAM, l'ancien président de la communauté rurale de Ndiébène Gandiol.
« Beaucoup ont perdu leurs sources de revenus et quittent la zone pour aller en Casamance, vers la petite et les zones intérieures pour développer leurs activités », a indiqué le journaliste qui déplore « un manque d’activités de restauration des moyens de subsistance » pouvant permettre de renforcer la résilience des impactés.
Il appelle à « plus d’effort en matière de sensibilisation et d’action », en préconisant une meilleure organisation des populations et l’appui renforcé des acteurs étatiques.