Les tensions soulevées par l’opération de désencombrements des installations sur la baie de Guet-Ndar et échauffourées générées par la démolition des deux mosquées, s’estompent.
Aujourd’hui, l’arrestation d’une vingtaine de jeunes Guet-Ndariens pour troubles à l’ordre public, manifestation sans autorisation, destructions du bien commun, occupe le cœur des débats sur la langue de barbarie.
Détruite avec la mosquée qui l’abritait, l’école coranique d’Adramé DIOP maintient son affluence. Des tentes dressées sur l’ancien de cette institution accueillent des centaines de disciples.
Tous les yeux sont rivés sur les berges. Ils guettent le démarrage des travaux annoncés par la commune.
Aujourd’hui, l’arrestation d’une vingtaine de jeunes Guet-Ndariens pour troubles à l’ordre public, manifestation sans autorisation, destructions du bien commun, occupe le cœur des débats sur la langue de barbarie.
Détruite avec la mosquée qui l’abritait, l’école coranique d’Adramé DIOP maintient son affluence. Des tentes dressées sur l’ancien de cette institution accueillent des centaines de disciples.
Tous les yeux sont rivés sur les berges. Ils guettent le démarrage des travaux annoncés par la commune.