Entre 2011 et 2014, 1971 cas de grossesses ont été recensés, selon les conclusions de cette étude menée par le GEEP avec le soutien de UNFPA. Il s’agit, d’après toujours ce document, de grossesses qui concernent l’intervalle d’âge entre 13 ans et 19 ans. Cet atelier de restitution s’est proposé donc et selon les organisateurs, de « cerner la problématique des grossesses précoces dans les établissements scolaires du Sénégal, d’en déterminer l’ampleur notamment dans les zones étudiées en se fondant sur le recueil de statistiques sur les trois dernières années scolaires (2011-2014)».
A les en croire toujours, l’étude vise à analyser les facteurs déterminant ces grossesses précoces en milieu scolaire, d’identifier les conséquences à l’école ainsi que les auteurs et de proposer des stratégies de prévention et de prise en charge de ces grossesses scolaires.
Au niveau des résultats, c’est la région de Sédhiou (30%) qui remporte le palme, suivi de Ziguinchor avec 19%, de Kolda 9%, de Matam et Thiès 6%, Kédougou, Saint Louis et Fatick 5%.
Au niveau des régions de Kaffrine, Dakar, Diourbel, Louga, Kaolack, le taux se situe entre 4% et 2%, renseigne le GEEP.
NDARINFO
A les en croire toujours, l’étude vise à analyser les facteurs déterminant ces grossesses précoces en milieu scolaire, d’identifier les conséquences à l’école ainsi que les auteurs et de proposer des stratégies de prévention et de prise en charge de ces grossesses scolaires.
Au niveau des résultats, c’est la région de Sédhiou (30%) qui remporte le palme, suivi de Ziguinchor avec 19%, de Kolda 9%, de Matam et Thiès 6%, Kédougou, Saint Louis et Fatick 5%.
Au niveau des régions de Kaffrine, Dakar, Diourbel, Louga, Kaolack, le taux se situe entre 4% et 2%, renseigne le GEEP.
NDARINFO