En appui au secteur pastoral confronté à de sérieuses difficultés d’accès à l’aliment de bétail, West Africa Farm (WAF) a gracieusement dédié quarante hectares de ses exploitations à la culture fourragère. Cet investissement, estimé à plus d'une vingtaine de millions FCFA, s’inscrit dans le cadre de sa politique de Responsabilité Sociétale d’Entreprise (RSE).
Une manière de soulager les éleveurs tenaillés par la soudure et l’inaccessibilité de la paille vendue à des coûts exorbitants. En offrant de bonnes provisions en mil fourrager, l’agro-industriel basé à Yamane (Commune de Gntih) aide à prévenir d’éventuelles tensions entre éleveurs et agricultures.
« Nous sommes dans une zone quasi-désertique caractérisée par un faible tapas herbacé, accentué par l’avancée du désert », a expliqué Mounirou SAMB, le responsable des ressources Humaines de WAF, au démarrage de la récolte hier jeudi.
« Il faut aplanir les relations entre les deux secteurs et montrer qu’il est possibilité de les rendre compatibles », a estimé M. SAMB, responsable du programme Rse.
« Aujourd’hui, la récolte du fourrage se fait en fin de saison de spéculations dont l’oignon, le radis, le haricot fin destinés à l’exportation et l’oignon en bulle pour la consommation locale, nous donnons la possibilité aux éleveurs de partager avec nous les profits de la production », a-t-il avancé.
Les éleveurs venus nombreux profiter des grandes quantités de fourrage, ont salué l’élan de générosité de WAF.
Une manière de soulager les éleveurs tenaillés par la soudure et l’inaccessibilité de la paille vendue à des coûts exorbitants. En offrant de bonnes provisions en mil fourrager, l’agro-industriel basé à Yamane (Commune de Gntih) aide à prévenir d’éventuelles tensions entre éleveurs et agricultures.
« Nous sommes dans une zone quasi-désertique caractérisée par un faible tapas herbacé, accentué par l’avancée du désert », a expliqué Mounirou SAMB, le responsable des ressources Humaines de WAF, au démarrage de la récolte hier jeudi.
« Il faut aplanir les relations entre les deux secteurs et montrer qu’il est possibilité de les rendre compatibles », a estimé M. SAMB, responsable du programme Rse.
« Aujourd’hui, la récolte du fourrage se fait en fin de saison de spéculations dont l’oignon, le radis, le haricot fin destinés à l’exportation et l’oignon en bulle pour la consommation locale, nous donnons la possibilité aux éleveurs de partager avec nous les profits de la production », a-t-il avancé.
Les éleveurs venus nombreux profiter des grandes quantités de fourrage, ont salué l’élan de générosité de WAF.